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Critique de Hagakure
Dès les premières lignes, la beauté de la langue de Laurent Gaudé saisit et nous conduit en un souffle unique jusqu'à la dernière page. Ses mots font danser des images d'une force saisissante, lumineuses, chargées de toutes les couleurs, textures et sons de ces dunes d'exil.
Ils disent la vie de la puissante et sauvage Salina par la voix de son fils.
Ils disent l'importance de raconter pour ne pas oublier, cette quête d'inscrire la vie de qui l'on aime par le récit.
Ils disent le voyage entre le royaume des morts et celui des vivants.
Ils disent l'insouciance, la violence, l'amour, la haine, la guerre, la colère, la vengeance et l'apaisement.
Ils disent notre humanité.
Sublime.
Je parie sur votre envoûtement.
Ils disent la vie de la puissante et sauvage Salina par la voix de son fils.
Ils disent l'importance de raconter pour ne pas oublier, cette quête d'inscrire la vie de qui l'on aime par le récit.
Ils disent le voyage entre le royaume des morts et celui des vivants.
Ils disent l'insouciance, la violence, l'amour, la haine, la guerre, la colère, la vengeance et l'apaisement.
Ils disent notre humanité.
Sublime.
Je parie sur votre envoûtement.
