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Critique de Noiredencre
Une couverture qui donne envie au premier regard de se plonger dans l'Univers grand, vaste, infini. Je ne savais quasiment rien de cette sonde nommée Rosetta et je me demandais si j'allais lire une histoire vraie, un documentaire scientifique ou un roman : c'est un peu tout à la fois. Dès les premières pages, nous sommes directement pris dans l'histoire de cette sonde rattachée à une comète qui, au fil du temps, nous emmène d'aventures humaines en aventures historiques.
Malheureusement au bout du 3 chapitres, une fois passé le côté humain de cette belle aventure surtout collective, l'auteur s'est perdu dans des délires futuristes trop extravagants à mon goût. Il est allé imaginer une planète à l'autre bout de l'Univers, avec un « peuple » qu' il ne décrit pas et que j'ai peiné à imaginer, comprendre. Cela ne colle pas avec les précisions historiques et scientifiques précédentes, manquant de rigueur et de clarté. Qui sont ces garons et ces grames ? qui sont Valénia et Barlon ? qui est Nelo ? Il faut attendre le dernier tiers pour en savoir un peu plus… mais je n'ai été ni convaincue ni conquise !
Puis apparait un mélange d'écologie avec une pincée de conscience collective pour protéger la planète, qui n'a pas lieu d'être dans ce roman. Quel rapport entre les comètes, les sondes, la conquête de l'espace, et l'être humain dont la taille se réduit à cause d'un réchauffement climatique ? Là j'avoue avoir été très déçue du tour que prenait le récit ! ça sent un poil de trop le discours de propagande voulant culpabiliser à tout prix le simple mortel qui souhaiterait utiliser sa voiture (ou en écouter au moins le son du moteur avec un verre d'essence le dimanche!)… on frôle le ridicule et je ne m'attendais pas à cela au milieu de l'histoire passionnante dont il était question juste avant. La suite de l'ouvrage a perdu beaucoup de mon intérêt, hélas !
Au final un docu-fiction intéressant, simplement colmaté de rustines imaginaires réalisées à la va-vite. Je lui attribue 2 étoiles pour les deux chapitres qui ont su me captiver.
Je remercie les éditions Thot pour l'envoi de ce roman, et Babelio pour l'organisation de la MC.
Malheureusement au bout du 3 chapitres, une fois passé le côté humain de cette belle aventure surtout collective, l'auteur s'est perdu dans des délires futuristes trop extravagants à mon goût. Il est allé imaginer une planète à l'autre bout de l'Univers, avec un « peuple » qu' il ne décrit pas et que j'ai peiné à imaginer, comprendre. Cela ne colle pas avec les précisions historiques et scientifiques précédentes, manquant de rigueur et de clarté. Qui sont ces garons et ces grames ? qui sont Valénia et Barlon ? qui est Nelo ? Il faut attendre le dernier tiers pour en savoir un peu plus… mais je n'ai été ni convaincue ni conquise !
Puis apparait un mélange d'écologie avec une pincée de conscience collective pour protéger la planète, qui n'a pas lieu d'être dans ce roman. Quel rapport entre les comètes, les sondes, la conquête de l'espace, et l'être humain dont la taille se réduit à cause d'un réchauffement climatique ? Là j'avoue avoir été très déçue du tour que prenait le récit ! ça sent un poil de trop le discours de propagande voulant culpabiliser à tout prix le simple mortel qui souhaiterait utiliser sa voiture (ou en écouter au moins le son du moteur avec un verre d'essence le dimanche!)… on frôle le ridicule et je ne m'attendais pas à cela au milieu de l'histoire passionnante dont il était question juste avant. La suite de l'ouvrage a perdu beaucoup de mon intérêt, hélas !
Au final un docu-fiction intéressant, simplement colmaté de rustines imaginaires réalisées à la va-vite. Je lui attribue 2 étoiles pour les deux chapitres qui ont su me captiver.
Je remercie les éditions Thot pour l'envoi de ce roman, et Babelio pour l'organisation de la MC.
