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Critique de SdImag
un irrésistible cocktail
Comme il avait su le faire avec brio dans son Démonistes, le romancier Olivier Gay nous entraîne une fois encore dans une aventure d'heroic-fantasy drôle et rythmé qui n'est pas sans évoquer le rafraîchissant Lanfeust de Christophe Arleston.
Revisitant avec inventivité les sombres arcanes de la nécromancie, il esquisse les contours d'un univers foisonnant qui pourrait bien servir de background à un JdR tant le rôliste s'y plongeant a furieuse et délicieuse impression de suivre les folles aventures d'avatars de Jeu de Rôle : des récitatifs et des dialogues décalés, des références à la pelle, un scénario rocambolesque plein de surprises, un méchant qui a l'étoffe de l'être, un passé à peine esquissé mais prégnant, sans oublier un (anti-) héros original et attachant…
Le dessin dynamique et stylisé de Tina Valentino n'est pas en reste, avec ce héros évoquant un certain Jazz Maynard et ses visuels qui esquisse les contours d'un univers arabisant enthousiasmant…
L'album s'achevant sur un cliffhanger ébouriffant, que dire sinon vivement la suite et, hélas, fin !
Lien : http://sdimag.fr/index.php?r..
Comme il avait su le faire avec brio dans son Démonistes, le romancier Olivier Gay nous entraîne une fois encore dans une aventure d'heroic-fantasy drôle et rythmé qui n'est pas sans évoquer le rafraîchissant Lanfeust de Christophe Arleston.
Revisitant avec inventivité les sombres arcanes de la nécromancie, il esquisse les contours d'un univers foisonnant qui pourrait bien servir de background à un JdR tant le rôliste s'y plongeant a furieuse et délicieuse impression de suivre les folles aventures d'avatars de Jeu de Rôle : des récitatifs et des dialogues décalés, des références à la pelle, un scénario rocambolesque plein de surprises, un méchant qui a l'étoffe de l'être, un passé à peine esquissé mais prégnant, sans oublier un (anti-) héros original et attachant…
Le dessin dynamique et stylisé de Tina Valentino n'est pas en reste, avec ce héros évoquant un certain Jazz Maynard et ses visuels qui esquisse les contours d'un univers arabisant enthousiasmant…
L'album s'achevant sur un cliffhanger ébouriffant, que dire sinon vivement la suite et, hélas, fin !
Lien : http://sdimag.fr/index.php?r..
