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Critique de katell
Le recueil attendait une occasion comme « En sortir 23 pour 2023 » pour que je l'ouvre et me plonge dans sa lecture.
Quoi de plus distrayant qu'un conte ! Praline Gay-Para conte des mythes venus des quatre coins du monde, me permettant de remonter aux racines communes des cultures, a priori, disparates de l'humanité.
En les lisant, et les savourant, j'ai eu l'impression de remonter le temps, de reprendre les méandres des mythes immémoriaux qui ont façonné les hommes. Ils se savourent et, bien évidemment, ils se lisent à voix haute. Quelques minutes pour un long voyage, quelques minutes de détente grâce à l'imagination en marche.
Certains contes sont étonnants comme celui du « Merisier plus fort que les éléphants » d'Haïti qui raconte l'origine des tambours sur la terre ou celui du « Roi qui se laissait frire » du Penjab (Inde) qui nous fait découvrir les origines du curry dans une foison de détails liés à la friture du roi dont les mots sont autant de sonorités et ont autant de croustillant frisant parfois la violence de la dévoration.
L'autrice les conte avec une liberté de ton mettant en valeur leur impertinence, leur humour et leur imagination exubérante.
Une lecture qui apporte joie et amusement sans oublier quelques frissons délicieux de peur. Une bien agréable découverte pour ensoleiller la journée.
Lien : https://chatperlitpopette.wo..
Quoi de plus distrayant qu'un conte ! Praline Gay-Para conte des mythes venus des quatre coins du monde, me permettant de remonter aux racines communes des cultures, a priori, disparates de l'humanité.
En les lisant, et les savourant, j'ai eu l'impression de remonter le temps, de reprendre les méandres des mythes immémoriaux qui ont façonné les hommes. Ils se savourent et, bien évidemment, ils se lisent à voix haute. Quelques minutes pour un long voyage, quelques minutes de détente grâce à l'imagination en marche.
Certains contes sont étonnants comme celui du « Merisier plus fort que les éléphants » d'Haïti qui raconte l'origine des tambours sur la terre ou celui du « Roi qui se laissait frire » du Penjab (Inde) qui nous fait découvrir les origines du curry dans une foison de détails liés à la friture du roi dont les mots sont autant de sonorités et ont autant de croustillant frisant parfois la violence de la dévoration.
L'autrice les conte avec une liberté de ton mettant en valeur leur impertinence, leur humour et leur imagination exubérante.
Une lecture qui apporte joie et amusement sans oublier quelques frissons délicieux de peur. Une bien agréable découverte pour ensoleiller la journée.
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