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Critique de LoupAlunettes
Elle nous amuse cette Sonia, vraiment.
Spontanée, fraîche et gaffeuse, mignonne et impertinente, mais si ado.
Gep, l'auteur, tient bien la distance et le personnage, c'est à chaque fois un plaisir.
C'est les vacances et Sonia est toute affalée sur la table. Puis recroquevillée sur elle-même.
C'est l'enfer et la désolation.
Sonia se rêvait déja en haut des buildings.
Pourquoi New York?
C'est toujours mieux qu'une téléportation au pays des poules.
"Bienvenue chez les bouseux!" , lui annonce son tonton jovial ( gage que la maman de Sonia avait bien dû pouffer de rire de sa trahison).
L'auteur met les pattes de poulet dans le plat et donne un bon coup de ballerine rose dans les clichés.
On en rit presque à chaque page, d'avantage de la méconnaissance du monde paysan que de ces gens bonhommes du grand air.
Au oeufs de la ferme, Sonia préférerait des Chicken Wings bien panés et croustillants.
Diantre! Mais où est sa tablette?
C'est sûr, elle va mourir, finir en compost pour remercier poliment de l'accueil.
La providence lui permettra de se sauver à temps de la désintégration, d'autant que pour le beau Arthur, le garçon à bicyclette, il vaut mieux rester entière.
L'amour est dans le pré.
Et Salomé, dans tout ça?
C'est le temps des douceurs et des réconciliations, sans leur fille dans les pattes (les jambes), les parents de Sonia prennent aussi du bon temps.
C'est les vacances.
La nature parait magnifiée, la légèreté des coquelicots fouettés par le vent, celle des herbes qui bruissent, le goût des petits pois et des tomates farcies, le caquètement strident de Rachida la poule...
C'est pas si mal finalement la campagne, n'est-ce pas?
Une vraie série coup de coeur confirmée.
Spontanée, fraîche et gaffeuse, mignonne et impertinente, mais si ado.
Gep, l'auteur, tient bien la distance et le personnage, c'est à chaque fois un plaisir.
C'est les vacances et Sonia est toute affalée sur la table. Puis recroquevillée sur elle-même.
C'est l'enfer et la désolation.
Sonia se rêvait déja en haut des buildings.
Pourquoi New York?
C'est toujours mieux qu'une téléportation au pays des poules.
"Bienvenue chez les bouseux!" , lui annonce son tonton jovial ( gage que la maman de Sonia avait bien dû pouffer de rire de sa trahison).
L'auteur met les pattes de poulet dans le plat et donne un bon coup de ballerine rose dans les clichés.
On en rit presque à chaque page, d'avantage de la méconnaissance du monde paysan que de ces gens bonhommes du grand air.
Au oeufs de la ferme, Sonia préférerait des Chicken Wings bien panés et croustillants.
Diantre! Mais où est sa tablette?
C'est sûr, elle va mourir, finir en compost pour remercier poliment de l'accueil.
La providence lui permettra de se sauver à temps de la désintégration, d'autant que pour le beau Arthur, le garçon à bicyclette, il vaut mieux rester entière.
L'amour est dans le pré.
Et Salomé, dans tout ça?
C'est le temps des douceurs et des réconciliations, sans leur fille dans les pattes (les jambes), les parents de Sonia prennent aussi du bon temps.
C'est les vacances.
La nature parait magnifiée, la légèreté des coquelicots fouettés par le vent, celle des herbes qui bruissent, le goût des petits pois et des tomates farcies, le caquètement strident de Rachida la poule...
C'est pas si mal finalement la campagne, n'est-ce pas?
Une vraie série coup de coeur confirmée.
