On savoure ou on dévore , en tout cas on se délecte. J'ai refermé le livre à regret, désolée de devoir lâcher ces personnages aussi irritants que du poil à gratter mais attachants au demeurant .La palme revient à
Guillaume Paulin, laid, boutonneux, nauséabond qui enclenche ou enraye la Roue du Destin d'une façon magistrale. J'adore ce personnage. J'adore le roman et son irrévérence . Vite un film !
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