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Critique de Pois0n
Les romances friends-to-lovers ne sont habituellement pas ma tasse de thé, mais l'extrait de celle-ci m'a vraiment donné envie de découvrir la suite. En plus, il me fallait une VRAIE lecture de saison après quelques pioches plus hasardeuses. Sitôt reçu, sitôt lu, donc ! Il faut dire qu'avec ses 98 pages (remerciements inclus), « Let your heart be light » se termine vite, surtout si l'on considère que les pages de gauche ne sont pas exploitées. Mais bon, on a droit à de très jolis filigranes qui mettent dans l'ambiance, alors on ne va pas s'en plaindre. C'est un fait, le livre est beau, avec des illustrations rendu aquarelle, en noir et blanc certes, mais qui collent toujours au récit. On sent le bouquin fait avec amour.
A l'inverse, si le nombre de fautes, coquilles et autres virgules mal placées demeurerait acceptable pour un livre indé, lorsque l'on découvre qu'Alison Germain a eu recours a une correctrice pour éviter ça, c'est la douche froide. J'en ai mal au coeur pour l'autrice qui a voulu faire les choses correctement, tout ça pour tomber sur une personne qui a complètement bâclé son travail. D'autant que la plupart sont des fautes « bêtes » qui auraient totalement pu être évitées par une simple relecture... Mais bon, rien de critique non plus, comme dit plus haut, le livre n'en est pas non plus truffé, il y en a simplement suffisamment pour ne pas fermer les yeux dessus.
Ça n'empêche pas le bouquin d'être tout mignon. Évidemment, en aussi peu de pages, l'histoire va à l'essentiel, avec deux vieux amis en route vers quelque chose de plus profond. Encore faudrait-il qu'Iris accepte ce qu'elle ressent et qui la perturbe : lorsqu'un équilibre existe depuis si longtemps, comment ne pas craindre de tout perdre ? Ce séjour va lui donner l'occasion de savoir ce qu'elle veut vraiment.
Si le décor est à peine esquissé, un marché de Noël et un chalet suffisent à poser l'ambiance. On s'attache sans mal au petit groupe d'amis au milieu duquel on est parachutés, d'autant qu'Alison Germain a pris le temps de bien conclure son récit. On a même droit à un court épilogue !
Le titre annonçait la couleur, le maître-mot, ici, c'est « légèreté ». Pas de prise de tête, pas de drames, juste deux personnes qui se cherchent et se trouvent. Une petite lecture courte et toute simple, idéale pour la saison !
A l'inverse, si le nombre de fautes, coquilles et autres virgules mal placées demeurerait acceptable pour un livre indé, lorsque l'on découvre qu'Alison Germain a eu recours a une correctrice pour éviter ça, c'est la douche froide. J'en ai mal au coeur pour l'autrice qui a voulu faire les choses correctement, tout ça pour tomber sur une personne qui a complètement bâclé son travail. D'autant que la plupart sont des fautes « bêtes » qui auraient totalement pu être évitées par une simple relecture... Mais bon, rien de critique non plus, comme dit plus haut, le livre n'en est pas non plus truffé, il y en a simplement suffisamment pour ne pas fermer les yeux dessus.
Ça n'empêche pas le bouquin d'être tout mignon. Évidemment, en aussi peu de pages, l'histoire va à l'essentiel, avec deux vieux amis en route vers quelque chose de plus profond. Encore faudrait-il qu'Iris accepte ce qu'elle ressent et qui la perturbe : lorsqu'un équilibre existe depuis si longtemps, comment ne pas craindre de tout perdre ? Ce séjour va lui donner l'occasion de savoir ce qu'elle veut vraiment.
Si le décor est à peine esquissé, un marché de Noël et un chalet suffisent à poser l'ambiance. On s'attache sans mal au petit groupe d'amis au milieu duquel on est parachutés, d'autant qu'Alison Germain a pris le temps de bien conclure son récit. On a même droit à un court épilogue !
Le titre annonçait la couleur, le maître-mot, ici, c'est « légèreté ». Pas de prise de tête, pas de drames, juste deux personnes qui se cherchent et se trouvent. Une petite lecture courte et toute simple, idéale pour la saison !
