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Critique de levonslencre
Fin des années 1800 à Paris, l'organisation de la Pieuvre, implacable et sans merci, s'entoure des meilleurs talents de la capitale et du monde pour régner en maître. Parmi eux Emile, le trouveur, qui à partir d'un caillou et d'une carte peut retrouver tout ce qu'il souhaite. Mais Emile a décidé d'user de son don à bon escient au service de la police. Mais la Pieuvre obtient tout ce qu'elle veut et le combat sera rude face à l'Hypnotiseur, la Bouche ou encore la Bête. Heureusement la femme d'Emile possède aussi un talent et les soeurs de l'Ubiquité veille.
Dans ce deuxième opus des contes de la Pieuvre après La malédiction de Gustave Babel, Gess re-double d'inventivité et d'ingéniosité pour nous promener dans un Paris à la fois authentique et fantastique, par un dessin saisissant, entre douceur et violence, et un scénario astucieux, prenant et bouleversant. Cette course poursuite dans le Paris des Misérables est habile et très bien menée. J'ai une petite préférence pour ce deuxième volume même si le personnage de Gustave Babel m'avait beaucoup plu, je trouve celui-ci plus abouti. Un monde à découvrir sans tarder pour amateur ou non de bandes dessinées, tant l'histoire est dense et subtile.
Dans ce deuxième opus des contes de la Pieuvre après La malédiction de Gustave Babel, Gess re-double d'inventivité et d'ingéniosité pour nous promener dans un Paris à la fois authentique et fantastique, par un dessin saisissant, entre douceur et violence, et un scénario astucieux, prenant et bouleversant. Cette course poursuite dans le Paris des Misérables est habile et très bien menée. J'ai une petite préférence pour ce deuxième volume même si le personnage de Gustave Babel m'avait beaucoup plu, je trouve celui-ci plus abouti. Un monde à découvrir sans tarder pour amateur ou non de bandes dessinées, tant l'histoire est dense et subtile.
