La lecture de ce roman est un peu déroutante, du moins au début, car l'écriture est plus impressionniste que narrative. Mais il suffit de se laisser emporter par la voix de Rikkat qui nous parle à l'oreille tout au long du récit. On découvre ainsi la dimension spirituelle de la calligraphie, aussi bien que l'évolution de la Turquie depuis Ataturk, sans oublier la rencontre avec un personnage hors du commun, qui a laissé une oeuvre à la réputation internationale. Au final, une lecture très agréable qui donne l'envie d'acheter un billet pour Istambul.
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