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Critique de Mestrale


Après "Le rituel de l'ombre" j'ai rapidement enchaîné avec le deuxième roman mettant en scène le commissaire franc-maçon Antoine Marcas : avec l'occultisme et l'univers de la société de Thulé et le nazisme, ce roman-ci nous fait découvrir une secte liée au personnage de Casanova. On retrouve donc le mélange entre ésotérisme, histoire et roman policier du premier volume, toujours bien équilibré
Cependant si l'histoire commence sur les chapeaux de roues, j'ai beaucoup attendu avant que l'intrigue ne prenne de l'ampleur : c'est seulement lorsque la rescapée d'un massacre, Anaïs, joint ses forces avec Antoine Marcas que j'ai eu l'impression d'avancer et de ne pas piétiner.
A noter aussi que le personnage du commissaire apparaît moins "sympathique" que dans le premier tome : je ne sais pas si les auteurs cherchaient à le rendre plus vulnérable et à montrer qu'il était faillible mais son comportement, notamment dans les premières scènes où il apparait m'a fait hausser les sourcils.
La lecture de cette Conjuration Casanova reste néanmoins agréable même si je considère le premier tome comme d'un meilleur niveau et je compte continuer sur ma lancée, en espérant que les tomes suivants seront davantage à mon goût.
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