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Critique de tchouk-tchouk-nougat


Matteo a fuit l'Espagne, dont la république a été vaincu malgré l'ardeur des résistant. Il se retrouve enfermé à la citadelle d'où il a une vue imprenable sur le bleu de la Méditerranée.

Mattéo n'a décidé guère de chance dans les combats qu'il mène et pourtant il a de la veine dans toute cette désillusion. Il est en vie, et même, va vite se retrouver libre. Il se cache à Collioure, chez son ami Paulin. Il retrouve la belle Juliette qui lui parle de son fils sans l'incorporer dans le cercle familial. Alors se développe la fibre paternel chez Matteo, on point de repartie au-devant des ennuis.
Oui car en cette année de 1940, la France n'est pas en bonne posture face à l'armée Allemande. La seconde guerre mondiale entraîne sont lot de misère.
Bien que la série aurait pu continuer, Gibrat a décidé par ce 6e volet de clore les péripéties de Matteo. Un tome que j'ai trouvé plus clair, plus dynamique, plus dans l'émotion. Malgré une fin ouverte, c'est une jolie conclusion faite avec beaucoup de soin, à l'image de ses aquarelles.
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