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Critique de Arthore


Deuxième destin des 4 et toujours le même lieu, une base aérienne de la zone neutre de Macédoine à l'automne 1916. La vie du quintett sera simplement traité en toile de fond contrairement au T1 et même s'il s'agit du point d'ancrage retenu par Giroud.

Alban Méric, spécialisé d'histoire byzantine, violoniste, pacifiste, issu d'une riche famille ne souhaite à échapper à son devoir national. Il va donc rejoindre l'armée mais va pouvoir, grâce à son père occuper un poste lui permettant de concilier sa passion tout en servant son pays en qualité de lieutenant.
Tombant rapidement amoureux de son aide de camp, il va devoir affronter un maitre chanteur sans scrupule qui a découvert leur secret. '
Cette histoire est celle de ce chantage et de cet amour durant la guerre.

Giroud, comme dans le décalogue, a pris pour chacun des 4 albums un dessinateur différent. Ici Gillon.
J'ai préféré son dessin plus réaliste, moins anguleux. Néanmoins pas suffisant pour en faire une BD à recommander

Petit rappel : pourquoi Quintett (et non quintette à la française ou quintet à l'anglaise?? C'est une idée du clarinétiste, le groupe tenant à la fois du jazz band et de la formation classique ayant donc choisi cette graphie... peu orthodoxe.
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