On ne peut imaginer plus simple, plus banal, plus insipide que ces nouvelles. Des circonstances, qui entraînent une rupture, sans personnage, sans cadre de vie, sans psychologie, sans rien de tangible. Les gens ne sont pas nommés ( sauf Marie Trintignant et
Bertrand Cantat), et l'écriture est réduite le plus souvent au schéma pronom sujet+verbe+complément.
Cette monotonie est peut-être volontaire pour rendre compte de celle de la vie de couple.
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