Après huit années d'arrêt, durant lesquelles le pistolero justicier Durango s'est bien reposé, il est prêt à en découdre avec des dessins assurés par
Thierry Girod.
Swolfs reste là pour le scénario, les cadrages des vignettes deleurent fortement influencés par
Sergio Leone, mais le dessin se fait un peu moins dans l'action, moins vif, même si à sa façon Girod s'approprie totalement l'univers de Durango avec un magnifique graphisme.
La transition au niveau du dessin est donc assurée, mais côté scénario on se limite à une simple vengeance, Durango poursuivant de sa pétoire les meurtrier et ceux qui les ont actionné pendant cet épisode et les suivants.
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