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Critique de Nepenthes
C'est avec ce troisième tome que se clôt cette réécriture de la légende arthurienne. Un tome principalement centré sur Perceval, chevalier malgré lui...
Ce dernier volet est à l'image des deux premiers. Il est toujours conté sur le même ton de récit chevaleresque. La tension devient cependant plus grande dans ce tome : le royaume d'Arthur bascule en même temps dans la frénésie de la quête du Graal et dans la ruine. Jalousie, animosité, vengeance, adultère... Tous les ingrédients qui continuent de faire une bonne intrigue bien prenante aujourd'hui, et déjà au coeur des anciens récits de chevalerie.
Au milieu du chaos ambiant, Perceval ramène par son innocence et sa bonté naturelle un peu de lumière dans un royaume en chute libre. Même Lancelot, le Blanc Chevalier, n'est plus si blanc depuis qu'il fricote avec Guenièvre.
Et petit à petit, le récit s'achemine vers cette fin inéluctable que l'on connait, mais que l'on prend toujours plaisir à re-découvrir.
Au terme de cette trilogie, le lecteur referme les pages d'un récit bien mené, égal de bout en bout, agréable à lire même si on pourrait vouloir un peu plus d'épique parfois...
Ce dernier volet est à l'image des deux premiers. Il est toujours conté sur le même ton de récit chevaleresque. La tension devient cependant plus grande dans ce tome : le royaume d'Arthur bascule en même temps dans la frénésie de la quête du Graal et dans la ruine. Jalousie, animosité, vengeance, adultère... Tous les ingrédients qui continuent de faire une bonne intrigue bien prenante aujourd'hui, et déjà au coeur des anciens récits de chevalerie.
Au milieu du chaos ambiant, Perceval ramène par son innocence et sa bonté naturelle un peu de lumière dans un royaume en chute libre. Même Lancelot, le Blanc Chevalier, n'est plus si blanc depuis qu'il fricote avec Guenièvre.
Et petit à petit, le récit s'achemine vers cette fin inéluctable que l'on connait, mais que l'on prend toujours plaisir à re-découvrir.
Au terme de cette trilogie, le lecteur referme les pages d'un récit bien mené, égal de bout en bout, agréable à lire même si on pourrait vouloir un peu plus d'épique parfois...
