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Critique de kathy
Je découvre Annie Goetzinger, l'une des rares femmes de la bd qui choisit souvent (dit-on ! ) des héroïnes perspicaces et indépendantes, et grâce à qui, les femmes auraient pris goût à la bd…
Dans sa dernière histoire, « Marie-Antoinette, la Reine fantôme », nous nous retrouvons dans les années 30. Maud est peintre, et un beau jour, elle se met à causer avec Marie Antoinette, la reine décapitée qui lui apparaît parce qu'elle n'a pu trouver le repos éternel et lui demande son aide…
Allers retours sous des traits épurés, entre l'esthétique des années 30 et celle de la fin du XVIII° siècle. Tissus, toilettes, architecture, mobilier, tout est traité avec délicatesse, douceur et précision dans le dessin. Quant à l'histoire, elle s'inspire de la thèse comme quoi, après avoir été guillotinée, la dépouille de Marie-Antoinette aurait été jetée dans la fosse commune de la Madeleine. Ainsi, le corps transféré à la Basilique de Saint Denis, ne serait pas le sien.
Un événement obscur de l'histoire de France mais opportun pour nous raconter une belle histoire de fantôme…
Dans sa dernière histoire, « Marie-Antoinette, la Reine fantôme », nous nous retrouvons dans les années 30. Maud est peintre, et un beau jour, elle se met à causer avec Marie Antoinette, la reine décapitée qui lui apparaît parce qu'elle n'a pu trouver le repos éternel et lui demande son aide…
Allers retours sous des traits épurés, entre l'esthétique des années 30 et celle de la fin du XVIII° siècle. Tissus, toilettes, architecture, mobilier, tout est traité avec délicatesse, douceur et précision dans le dessin. Quant à l'histoire, elle s'inspire de la thèse comme quoi, après avoir été guillotinée, la dépouille de Marie-Antoinette aurait été jetée dans la fosse commune de la Madeleine. Ainsi, le corps transféré à la Basilique de Saint Denis, ne serait pas le sien.
Un événement obscur de l'histoire de France mais opportun pour nous raconter une belle histoire de fantôme…
