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Critique de ibon


Sorcier, magie noire, royaume des morts, princesse, palais, fée, sorcières et épées font partie du champ lexical du genre.
Ajoutez-ici, sourcier, inquisitrice et Mord Sith pour sublimer le girl power pourtant pas à l'affiche au début des années 2000. Ah si, y avait Angela M!

Richard a une mission: empêcher le très méchant Darken Rahl (assez original comme nom de vilain...) de s'emparer des 3 boîtes d'Orden, pièces maitresses du pouvoir absolu sur le vivant.

Le début, bien qu'assez entraînant, ne surprendra pas le lecteur assujetti aux sucres rapides du caramel beurre salé. Mais il a l'avantage de présenter sans précipitation les personnages et surtout d'enchâsser subtilement les parties de l'intrigue façon puzzle.

La géographie et les personnages se découvrent pas à pas. Ce cheminement est bienveillant, sans récits multiples que je réprouve de plus en plus, forestier, avec ses parfums de sève de pin, mais aussi ses prédateurs au-delà des frontières, sinon ce ne serait pas l'aventure.

Pourtant, le quidam lâchera la cuillère collante quand des scènes surviendront avec des trèèès méchants avec lesquels le dévoué Richard se trouvera confronté.

Le bonus vient de ces scènes inattendues, exceptionnellement longues et en dehors du récit principal, qui apportent du vilain à moudre et donnent le piquant salutaire à l'ensemble.

J'ai trouvé cet univers sordide mais solide. Et le scénario, avant de ronfler, s'avère rebondissant .

Terry Goodking: quatre étoiles et une moitié coupée par l'épée de Vérité.
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