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Critique de fnitter
Eh bien, pourquoi pas ?
La Terre découvre que l'univers est bien plus peuplé que prévu et une alliance de plusieurs races ET sont en guerre permanente contre un ennemi. La ruche. Particularité de cette alliance, elle pratique le programme des épouses interstellaires, ou comment trouver la parfaite partenaire (sexuelle, amoureuse, sa moitié quoi,) entre les combattants ET et les femmes d'autres races.
Amanda est la première terrienne, en fait une espionne pour la CIA. Mais elle va découvrir qu'on lui ment. Ah, le partenariat, c'est une femme deux hommes et plein de possibilités.
Un World building digne des pire pulps d'avant guerre.
De l'anthropomorphisme à son paroxysme. Les ET sont de beaux mâles virils et interféconds en plus. de toute façon l'ET à tentacule et à tête de lézard est une sexualité qui ne m'intéresse pas du tout.
Les passages érotiques, sont très érotiques et remplissent parfaitement leur rôle et c'est quand même ça qu'on vient chercher dans ce genre de littérature, alors ne boudons pas notre plaisir, il est là.
Un texte en multi POV, à la première personne et au présent, on a quand même un peu l'impression que c'est écrit avec les pieds mais pourtant, pourtant j'ai bien aimé le concept. Ça vaut bien une romance paranormale. Marre des vampires et des loups garous hein ? Et sinon, un patron de flotte de guerre interstellaire dominateur, ça vaut bien un milliardaire BDSM non ?
La Terre découvre que l'univers est bien plus peuplé que prévu et une alliance de plusieurs races ET sont en guerre permanente contre un ennemi. La ruche. Particularité de cette alliance, elle pratique le programme des épouses interstellaires, ou comment trouver la parfaite partenaire (sexuelle, amoureuse, sa moitié quoi,) entre les combattants ET et les femmes d'autres races.
Amanda est la première terrienne, en fait une espionne pour la CIA. Mais elle va découvrir qu'on lui ment. Ah, le partenariat, c'est une femme deux hommes et plein de possibilités.
Un World building digne des pire pulps d'avant guerre.
De l'anthropomorphisme à son paroxysme. Les ET sont de beaux mâles virils et interféconds en plus. de toute façon l'ET à tentacule et à tête de lézard est une sexualité qui ne m'intéresse pas du tout.
Les passages érotiques, sont très érotiques et remplissent parfaitement leur rôle et c'est quand même ça qu'on vient chercher dans ce genre de littérature, alors ne boudons pas notre plaisir, il est là.
Un texte en multi POV, à la première personne et au présent, on a quand même un peu l'impression que c'est écrit avec les pieds mais pourtant, pourtant j'ai bien aimé le concept. Ça vaut bien une romance paranormale. Marre des vampires et des loups garous hein ? Et sinon, un patron de flotte de guerre interstellaire dominateur, ça vaut bien un milliardaire BDSM non ?
