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Critique de CamilleBook
Si vous avez aimé 'La Nuit où les étoiles se sont éteintes' vous ne pourrez qu'aimer 'Le Jour où le soleil ne s'est plus levé'.
C'est la même histoire, racontée différemment, d'un autre point de vue. Et c'est la même émotion.
Si le premier volet s'intéressait essentiellement au personnage de Finn, jeune garçon bousculé par la vie et par un vécu chaotique, ici c'est sur celui de Nate que l'on se concentre. Personnage déjà aimé la première fois et qui méritait qu'on s'attarde sur son histoire personnelle, ses fêlures, parfois profondes, et son besoin d'exister sans savoir comment se révéler aux yeux des autres, de ses amis comme de sa famille. Les mensonges, les sourires et la contenance de façade : une spirale infernale et inextricable entr'aperçue dans 'La Nuit' et racontée en détail ici.
Encore une fois les autrices, avec un style et un ton aussi francs que percutants, ont réussi à me prendre aux tripes. Parce que les sentiments évoqués, les peines et le désespoir, mais aussi les joies et les éclats de rire de cette bande d'adolescents en dernière année de lycée sont retranscrits de manière aussi forte qu'ils peuvent l'être à cette période de la vie. À la lecture on se les prend de plein fouet et il est difficile de ne pas être ému lorsque les émotions sont aussi perceptibles qu'elles le sont ici.
Nate, Finn, deux écorchés vifs qui se trouvent et se complètent sans en avoir conscience, pour le meilleur et pour le pire.
Kenna, qui au delà de sa fougue et son côté tête brûlée se révèle attendrissante dans sa relation avec Nate.
Kurt et Jaeger complètent cette superbe bande de potes dans laquelle on peut tous se retrouver.
C'est vivant, c'est touchant, c'est prenant. Ça rend nostalgique mais ça fait du bien.
C'est la même histoire, racontée différemment, d'un autre point de vue. Et c'est la même émotion.
Si le premier volet s'intéressait essentiellement au personnage de Finn, jeune garçon bousculé par la vie et par un vécu chaotique, ici c'est sur celui de Nate que l'on se concentre. Personnage déjà aimé la première fois et qui méritait qu'on s'attarde sur son histoire personnelle, ses fêlures, parfois profondes, et son besoin d'exister sans savoir comment se révéler aux yeux des autres, de ses amis comme de sa famille. Les mensonges, les sourires et la contenance de façade : une spirale infernale et inextricable entr'aperçue dans 'La Nuit' et racontée en détail ici.
Encore une fois les autrices, avec un style et un ton aussi francs que percutants, ont réussi à me prendre aux tripes. Parce que les sentiments évoqués, les peines et le désespoir, mais aussi les joies et les éclats de rire de cette bande d'adolescents en dernière année de lycée sont retranscrits de manière aussi forte qu'ils peuvent l'être à cette période de la vie. À la lecture on se les prend de plein fouet et il est difficile de ne pas être ému lorsque les émotions sont aussi perceptibles qu'elles le sont ici.
Nate, Finn, deux écorchés vifs qui se trouvent et se complètent sans en avoir conscience, pour le meilleur et pour le pire.
Kenna, qui au delà de sa fougue et son côté tête brûlée se révèle attendrissante dans sa relation avec Nate.
Kurt et Jaeger complètent cette superbe bande de potes dans laquelle on peut tous se retrouver.
C'est vivant, c'est touchant, c'est prenant. Ça rend nostalgique mais ça fait du bien.
