Un album dans lequel on découvre que
les Galaxiens ont une prison, ou plutôt un camp disciplinaire où se retrouvent les "punis". Son fonctionnement est assez amusant et donne lieu à quelques scènes cocasses, comme le changement de rôle des gardes, qui est l'occasion d'un joyeux fouillis, bien loin de l'organisation millimétrée de la relève de la garde de Buckingham Palace.
Zoltic jette son dévolu sur un puni, et veut transformer "ce minable en génie". Mais évidemment, à jouer à l'apprenti sorcier, il cherche les ennuis, qui ne vont pas tarder.
Ce tome onze, sans être exceptionnel est bien rythmé, on ne s'ennuie pas un instant, et l'on retrouve avec plaisir Patarsort (rencontré dans le tome 8), toujours aussi bête et méchant, donc toujours aussi drôle. de quoi donner envie de poursuivre la lecture dans le tome 12.
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