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Critique de bdelhausse
Un album audacieux de Gos. Très dense également. Rempli d'actions. Avec des personnages secondaires bien plus fouillés que d'habitude.
Gos aborde les origines de la civilisation, l'Atlantide et la problématique du Tibet... rien que ça!
On a donc l'armée chinoise, ses compromissions, ses trahisons, la bêtise des officiers et l'incompétence des subalternes (ou l'inverse) qui provoque des quiproquos drôles, mais néanmoins empreints de gravité. La question de l'occupation chinoise se profile souvent en toile de fond, et aussi celle du Dalaï-lama.
C'est sans doute, à ce stade, l'album le plus mature de la série. le scrameustache, plus grave et concentré, s'énerve sur Khéna... une première. Pour un public sans doute un peu plus âgé que celui des galaxiens (dont on ne trouve -heureusement- nulle trace ici).
Gos aborde les origines de la civilisation, l'Atlantide et la problématique du Tibet... rien que ça!
On a donc l'armée chinoise, ses compromissions, ses trahisons, la bêtise des officiers et l'incompétence des subalternes (ou l'inverse) qui provoque des quiproquos drôles, mais néanmoins empreints de gravité. La question de l'occupation chinoise se profile souvent en toile de fond, et aussi celle du Dalaï-lama.
C'est sans doute, à ce stade, l'album le plus mature de la série. le scrameustache, plus grave et concentré, s'énerve sur Khéna... une première. Pour un public sans doute un peu plus âgé que celui des galaxiens (dont on ne trouve -heureusement- nulle trace ici).
