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Critique de Cosyra
Pour ce mois de juillet, je suis parti à la découverte de la plume de Chlodion Gossart, un jeune auteur français qui signe, fin juin dernier, son premier roman autoédité « Écosphère T1 le Laboratoire englouti », une oeuvre de science-fiction.
Bref, « Écosphère T1 le Laboratoire englouti » de quoi ça parle ?
Nous débutons cette histoire aux côtés de Leily, une redoutable pirate bien décidée à dérober l'Ecosphère, un concentré de technologie qui a permis au Maitre Ingénieur de contenir le Seigneur Mécanique. Mais pour cela, Leily a besoin de la fille du Maitre Ingénieur, Arane. La capitaine ne va pas se gêner pour enlever la jeune fille enfin de mettre la main sur la précieuse Ecosphère. Mais Arane, aidé de son ami Zael, va déjouer les ruses de la princesse des pirates et découvrir l'incroyable héritage que lui a laissé son père.
Pour commencer, un pouce en l'air pour la couverture réalisée par Winnie Joe. Je la trouve très belle et représentative de l'univers. D'ailleurs, elle a contribué à 90 % à mon choix de lire ce roman.
Ensuite, parlons un peu de mise en page. Comme toujours, je parlerais ici de version numérique (ne lisant que sur ce support…). La mise en page est soignée, même si on regrette un peu plus de travail sur la typographie, mais rien de dramatique pour autant.
Globalement, j'ai beaucoup aimé ma lecture de « Écosphère T1 le Laboratoire englouti ». C'est une histoire agréable et originale dans laquelle le lecteur est vite captivé. L'écriture de Chlodion Gossart est très simple et accessible, bien qu'elle semble trahir, quelques fois, un manque d'expérience de l'auteur. Les personnages sont attachants même s'ils manquent réellement de profondeur.
Et je vais pointer ici le gros souci de ce roman. Comme je l'ai dit juste au-dessus, c'est un livre que j'ai apprécié, mais qui est, à mon sens, beaucoup trop court pour ce qu'il a dire. Pour ma part, j'ai terminé ma lecture en l'espace de quelques jours. Il n'y a pas 10 chapitres et ces 10 chapitres se lisent à une vitesse folle. Ne vous inquiétez pas, vous ne trouverez aucune longueur dans « « Écosphère T1 le Laboratoire englouti ».
Ce format très court, qui se prête bien à un public très jeune, ne laisse pas à l'auteur le temps de développer son univers et ses personnages. J'image déjà que certains me diront « c'est prévu sur plusieurs tomes », mais même en imaginant une saga sur plusieurs volumes, ce premier tome n'en reste pas moins très superficiel. On ne fait que survoler en vitesse cette aventure, s'en chercher à la comprendre plus en profondeur.
Par exemple, le personnage de Leily aurait été très intéressant à développer. Elle n'a que 17 ans et est la princesse des pirates. Elle a vu son père mourir et son navire disparaitre corps et bien dans les flots. On imagine que psychologiquement, ce personnage a quelque chose à raconter. Au même titre qu'Arane !
Pour terminer cette critique, je dirais cela : « Écosphère T1 le Laboratoire englouti » est une très bonne idée, mais qui demande à murir pour devenir une oeuvre plus complète. C'est un roman que je conseille largement et j'ai hâte de découvrir la suite des aventures d'Arane.
Lien : https://www.facebook.com/Le-..
Bref, « Écosphère T1 le Laboratoire englouti » de quoi ça parle ?
Nous débutons cette histoire aux côtés de Leily, une redoutable pirate bien décidée à dérober l'Ecosphère, un concentré de technologie qui a permis au Maitre Ingénieur de contenir le Seigneur Mécanique. Mais pour cela, Leily a besoin de la fille du Maitre Ingénieur, Arane. La capitaine ne va pas se gêner pour enlever la jeune fille enfin de mettre la main sur la précieuse Ecosphère. Mais Arane, aidé de son ami Zael, va déjouer les ruses de la princesse des pirates et découvrir l'incroyable héritage que lui a laissé son père.
Pour commencer, un pouce en l'air pour la couverture réalisée par Winnie Joe. Je la trouve très belle et représentative de l'univers. D'ailleurs, elle a contribué à 90 % à mon choix de lire ce roman.
Ensuite, parlons un peu de mise en page. Comme toujours, je parlerais ici de version numérique (ne lisant que sur ce support…). La mise en page est soignée, même si on regrette un peu plus de travail sur la typographie, mais rien de dramatique pour autant.
Globalement, j'ai beaucoup aimé ma lecture de « Écosphère T1 le Laboratoire englouti ». C'est une histoire agréable et originale dans laquelle le lecteur est vite captivé. L'écriture de Chlodion Gossart est très simple et accessible, bien qu'elle semble trahir, quelques fois, un manque d'expérience de l'auteur. Les personnages sont attachants même s'ils manquent réellement de profondeur.
Et je vais pointer ici le gros souci de ce roman. Comme je l'ai dit juste au-dessus, c'est un livre que j'ai apprécié, mais qui est, à mon sens, beaucoup trop court pour ce qu'il a dire. Pour ma part, j'ai terminé ma lecture en l'espace de quelques jours. Il n'y a pas 10 chapitres et ces 10 chapitres se lisent à une vitesse folle. Ne vous inquiétez pas, vous ne trouverez aucune longueur dans « « Écosphère T1 le Laboratoire englouti ».
Ce format très court, qui se prête bien à un public très jeune, ne laisse pas à l'auteur le temps de développer son univers et ses personnages. J'image déjà que certains me diront « c'est prévu sur plusieurs tomes », mais même en imaginant une saga sur plusieurs volumes, ce premier tome n'en reste pas moins très superficiel. On ne fait que survoler en vitesse cette aventure, s'en chercher à la comprendre plus en profondeur.
Par exemple, le personnage de Leily aurait été très intéressant à développer. Elle n'a que 17 ans et est la princesse des pirates. Elle a vu son père mourir et son navire disparaitre corps et bien dans les flots. On imagine que psychologiquement, ce personnage a quelque chose à raconter. Au même titre qu'Arane !
Pour terminer cette critique, je dirais cela : « Écosphère T1 le Laboratoire englouti » est une très bonne idée, mais qui demande à murir pour devenir une oeuvre plus complète. C'est un roman que je conseille largement et j'ai hâte de découvrir la suite des aventures d'Arane.
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