Le roman est donc bien construit. Enfin, le roman est bien écrit pour un premier roman : le vocabulaire est riche et l'écriture fluide, malgré quelques phrases alambiquées.
Benjamin Gottar nous emmène d'abord dans une cave dans laquelle est enfermé un jeune homme, pour on ne sait quelle raison. Intrigué, on se laisse emporter par cette histoire bien menée et qui est découpée en trois parties s'imbriquant les unes dans les autres : une enquête policière, le jeune captif dans cette cave lugubre et l'histoire de ce dernier.
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