Déçue par la forme : roman-récit, ni roman, ni documentaire et par le fond : on n'apprend rien que l'on ne sache déjà, cette Louise manque de consistance, d'épaisseur.
Tantôt sainte, généreuse, tantôt intransigeante, raide, violente, ce qu'elle était probablement.
Une enfance particulière, un esprit curieux qui la pousse vers toutes les disciplines, un mélange de raideur et d'ouverture en particulier lors de sa déportation en Nouvelle Calédonie où elle est une des rares communardes à s'intéresser à la culture Kanak et à considérer ces hommes à égalité et non comme des sous-hommes. Les autres déportés ne dépassaient pas, eux, les préjugés de leur temps.
Ses liens avec les mouvements anarchistes de la fin du XIXème siècle, ses années de prison, sa combativité incessante.
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