J'aime décidément beaucoup cette collection "D'une seule voix" dont les romans font monologuer des ados.
Ici, le narrateur est rongé de culpabilité et s'étouffe dans le silence qui est son habitude.
Dans son quartier, Demba, avec qui il était en rivalité pour une histoire de bagarre et de casquette, vient de mourir dans un accident de scooter... Avoir souhaité un jour sa mort, cela fait-il de lui un assassin ?
Le texte exprime très bien le ressenti de la culpabilité, du deuil, de l'absurdité de la mort quand on est ado.
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