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Critique de FunamBulle
Au détour d'autres ouvrages de cette collection, j'en entends qui s'emballent, j'en vois qui s'offusquent, j'en pressens qui se rebellent : mon premier Goldman, oui, mon premier Aznavour, mon premier Renaud, certes, mais on n'entend pas les artistes chanter !!
Oui, la collection PlayBac offre des musiques, mais c'est bien la définition même du PlayBack : une musique sur laquelle chanter. C'est une incitation, une invitation à vocaliser. Tout l'attrait du livre est là : dans le partage et la transmission.
C'est certain, cela nécessite une implication de l'entourage, le parent, le grand-parent, l'accompagnant, le professeur, tous vont devoir s'y mettre en choeur, mais l'enfant n'attend pas moins que cet échange, ce lien avec l'adulte, cet héritage. Car Goldman et consorts, ce ne sont pas qu'une voix, ce sont des milliers de voix, c'est le peuple qui chante à tue-tête, c'est notre culture populaire. La voix est laissée au public et ça n'est peut-être pas plus mal ainsi. Quand je vois ma belle-soeur s'époumoner toute la journée, je peux vous certifier que ses rejetons l'ont bien en tête, l'oeuvre de Jean-Jacques ! Et les enfants l'ont bien en bouche (satanés petits jumeaux) ! Ce choix éditorial me convient parfaitement. Rien ne nous empêche ensuite de faire écouter les vrais titres à nos bambins.
Merci au passage aux éditions PlayBac et à Babelio pour l'opération masses critiques qui m'a permis d'acquérir ce bel objet !
Oui, la collection PlayBac offre des musiques, mais c'est bien la définition même du PlayBack : une musique sur laquelle chanter. C'est une incitation, une invitation à vocaliser. Tout l'attrait du livre est là : dans le partage et la transmission.
C'est certain, cela nécessite une implication de l'entourage, le parent, le grand-parent, l'accompagnant, le professeur, tous vont devoir s'y mettre en choeur, mais l'enfant n'attend pas moins que cet échange, ce lien avec l'adulte, cet héritage. Car Goldman et consorts, ce ne sont pas qu'une voix, ce sont des milliers de voix, c'est le peuple qui chante à tue-tête, c'est notre culture populaire. La voix est laissée au public et ça n'est peut-être pas plus mal ainsi. Quand je vois ma belle-soeur s'époumoner toute la journée, je peux vous certifier que ses rejetons l'ont bien en tête, l'oeuvre de Jean-Jacques ! Et les enfants l'ont bien en bouche (satanés petits jumeaux) ! Ce choix éditorial me convient parfaitement. Rien ne nous empêche ensuite de faire écouter les vrais titres à nos bambins.
Merci au passage aux éditions PlayBac et à Babelio pour l'opération masses critiques qui m'a permis d'acquérir ce bel objet !
