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Critique de Gwelan
On ne s'ennuie jamais avec les romans de Jean-Christophe Grangé.
Si dans certains romans la fin se devine assez tôt, ce n'est pas la cas ici, tout peut arriver et tout arrive, le meilleur mais surtout le pire, la peur n'est-elle pas le sujet principal?
Au début deux histoires à des kilomètres l'une de l'autre, puis petit à petit elles commencent à converger puis à n'en devenir qu'une seule. Les personnages montrent petit à petit leurs vrais visages, bien loin de celui qu'on pouvait leur prêter au début de l'histoire.
L'auteur nous fait pénétrer au coeur de la communauté Turque de Paris. Il nous promène aussi le long du Bosphore là où tout se décide.
Du suspens, des rebondissements à souhait, des personnages intéressants, le tout bien écrit, j'ai aimé.
Si dans certains romans la fin se devine assez tôt, ce n'est pas la cas ici, tout peut arriver et tout arrive, le meilleur mais surtout le pire, la peur n'est-elle pas le sujet principal?
Au début deux histoires à des kilomètres l'une de l'autre, puis petit à petit elles commencent à converger puis à n'en devenir qu'une seule. Les personnages montrent petit à petit leurs vrais visages, bien loin de celui qu'on pouvait leur prêter au début de l'histoire.
L'auteur nous fait pénétrer au coeur de la communauté Turque de Paris. Il nous promène aussi le long du Bosphore là où tout se décide.
Du suspens, des rebondissements à souhait, des personnages intéressants, le tout bien écrit, j'ai aimé.
