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Critique de Eroblin


C'est le 5ème tome des aventures policières d'un couple victorien Ben et Lizzie Ross. Ben Ross est inspecteur à la Scotland Yard tandis que sa femme Lizzie, fille de médecin, s'occupe de leur intérieur. Mais Lizzie, secondée de sa domestique Bessie, a tendance à se mêler des affaires policières de son mari, permettant souvent d'ailleurs de récolter des indices décisifs pour l'avancée des enquêtes.
Dans ce tome, une femme est retrouvée morte dans un quartier mal famé de Londres et, très rapidement, il s'avère que c'était une redoutable prêteuse sur gages. Parallèlement Lizzie est contactée par la fiancée de son « cousin » qui lui demande de l'aider car son frère Edgar Willings, étudiant en médecine, doit de l'argent à une certaine Mme Clifford. Quand les deux femmes accompagnées de Willings se rende à l'adresse de Mme Clifford pour négocier, ils tombent sur la police et la servante de cette dernière. Et le malheureux Willings est désigné par la servante comme celui qui a vu Mme Clifford en dernier.
L'enquête qui suit est classique, il n'y a pas de rebondissements incroyables ni de « Deus ex-machina » tiré par les cheveux. L'intérêt de la série n'est pas vraiment (du moins à mon humble avis) dans la résolution des meurtres mais plutôt dans la description de la société anglaise victorienne. Les personnages de Ben et de Lizzie permettent de s'introduire dans les différentes strates de la société, de côtoyer nantis et miséreux. C'est bien écrit, il se dégage un certain charme suranné et j'ai pris du plaisir à suivre les époux Ben et Lizzie Ross.
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