"L'orpheline de Salisbury" m'a permis de retrouver avec grand plaisir Lizzie Martin et son époux , le policier , Benjamin Ross .
Un 7e tome tout aussi délicieux que les six précédents :
style fluide , intrigue claire et bonne peinture de Londres
à l'époque victorienne .
Ce roman s'ouvre sur quatre pages de prologue offrant une superbe description du brouillard londonien ...très bien écrite ....
un modèle du genre !
Bien sûr , dans cette série de
Ann Granger , point de poursuites échevelées ni de péripéties époustouflantes mais une enquête très agréable à lire ...à déguster comme un scone accompagné de marmelade d'oranges !
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