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Critique de LoupAlunettes
" le pire livre du monde", qu'on nous annonce, jeunes gens.
Mais le pire livre du monde n'est pas toujours le livre le moins bon. Les grands raconteurs d'histoires se rappelleront peut-être ces terribles moments de solitude où ils auront mal choisi le livre à lire à des enfants qui ne tiennent pas en place, qui vous feront sentir que vous leur imposer ce terrible moment de lecture, qu'hélas vous pensiez qu'il suffisait de prendre un album au hasard, sans l'avoir lu, préparé, sans avoir vérifié que le récit soit bien drôle ou adapté.
" le pire livre du monde" d'Élise Gravel nous restituera ce triste sentiment, avec un bon zest d'humour en plus.
Non, nous ne verrons pas le visage du lecteur et ses gouttes de sueur perler le long de son front, nous n'aurons que la vue sur le livre et croyez-moi, cela suffira.
L'histoire s'organisera sur des doubles-pages, avec le conte désastreux à gauche et des écouteurs d'histoire plantés là par l'auteure, qui devront supporter le conte désastreux.
" On ne devrait pas revenir à cette histoire?
- Attends , on s'amuse, nous.
- Surtout moi, ha ha! Échec et Mat!..."
Olala, les grands lecteurs, comme quand les enfants qui ne veulent plus écouter l'histoire vous ignore et commencent à s'amuser sous vos yeux, d'une énergie qui va vous dépasser le plus souvent.
Les trois compères qui n'écoutent plus nous ferons rire, avec des commentaires aussi piquants et durs que l'histoire est volontairement sotte.
Élise Gravel en rajoutera une couche, leur prêtant l'aspect de trois petites choses peu ragoutantes: une bouloche, un shewing gum et une araignée.
Volontairement, ils seront là pour critiquer l'auteure, jouer les pénibles et remettre tout en question (mais le conte sera d'un genre "pipi caca", de quoi rire à plusieurs niveaux).
Un album pour enfants à la frontière de la BD (les personnages s'exprimeront par des bulles) dont le grain de folie devrait plaire.
Mais le pire livre du monde n'est pas toujours le livre le moins bon. Les grands raconteurs d'histoires se rappelleront peut-être ces terribles moments de solitude où ils auront mal choisi le livre à lire à des enfants qui ne tiennent pas en place, qui vous feront sentir que vous leur imposer ce terrible moment de lecture, qu'hélas vous pensiez qu'il suffisait de prendre un album au hasard, sans l'avoir lu, préparé, sans avoir vérifié que le récit soit bien drôle ou adapté.
" le pire livre du monde" d'Élise Gravel nous restituera ce triste sentiment, avec un bon zest d'humour en plus.
Non, nous ne verrons pas le visage du lecteur et ses gouttes de sueur perler le long de son front, nous n'aurons que la vue sur le livre et croyez-moi, cela suffira.
L'histoire s'organisera sur des doubles-pages, avec le conte désastreux à gauche et des écouteurs d'histoire plantés là par l'auteure, qui devront supporter le conte désastreux.
" On ne devrait pas revenir à cette histoire?
- Attends , on s'amuse, nous.
- Surtout moi, ha ha! Échec et Mat!..."
Olala, les grands lecteurs, comme quand les enfants qui ne veulent plus écouter l'histoire vous ignore et commencent à s'amuser sous vos yeux, d'une énergie qui va vous dépasser le plus souvent.
Les trois compères qui n'écoutent plus nous ferons rire, avec des commentaires aussi piquants et durs que l'histoire est volontairement sotte.
Élise Gravel en rajoutera une couche, leur prêtant l'aspect de trois petites choses peu ragoutantes: une bouloche, un shewing gum et une araignée.
Volontairement, ils seront là pour critiquer l'auteure, jouer les pénibles et remettre tout en question (mais le conte sera d'un genre "pipi caca", de quoi rire à plusieurs niveaux).
Un album pour enfants à la frontière de la BD (les personnages s'exprimeront par des bulles) dont le grain de folie devrait plaire.
