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Critique de Lesbotheque
Probablement une des plus belles histoires d'amour que j'ai jamais lu. Et pourtant, nous sommes plutôt dans une histoire classique : Une Amérique des années 60, deux femmes aux foyers coincées entre leur marie et une société loin d'être progressiste, un adultère. Pas de quoi casser 3 pattes à un canard, on peut dire que les ficelles ne sont pas d'aujourd'hui... Même si l'adultère a l'originalité d'être homosexuel, nous ne sommes pas non plus dans la nouveauté absolue.
Alors what else ? C'est la construction et l'écriture de ce roman qui font de ce roman un truc à ne pas rater.
L'architecture d'abord. Construit comme un thriller, non seulement il vous tiendra sur le fil jusqu'à la fin mais en plus vous en tomberez de votre chaise...
Le style enfin et justement c'est fin, délicat. Une description juste des sentiments, sans fioriture, sans en rajouter... Ce n'est pas la peine puisque l'histoire se suffit à elle-même. Ça se lit d'une traite les yeux rivés sur le nombre de pages, "pourvu que ce livre ne se termine jamais".
Alors what else ? C'est la construction et l'écriture de ce roman qui font de ce roman un truc à ne pas rater.
L'architecture d'abord. Construit comme un thriller, non seulement il vous tiendra sur le fil jusqu'à la fin mais en plus vous en tomberez de votre chaise...
Le style enfin et justement c'est fin, délicat. Une description juste des sentiments, sans fioriture, sans en rajouter... Ce n'est pas la peine puisque l'histoire se suffit à elle-même. Ça se lit d'une traite les yeux rivés sur le nombre de pages, "pourvu que ce livre ne se termine jamais".
