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Critique de NinaMarquez


La violence répétée finit toujours par être un droit et devenir un devoir. Ce roman évoque deux violences : celle de la société et celle de la famille. Est-ce qu'écrire, au fond, c'est résister ? Est-ce crier aussi ? Sûrement. Dès lors, affleure cette évidence, celle où le mépris est le commencement, non pas de la souffrance, mais de la rage. Qui ne s'éteint jamais et que l'on traine derrière soi comme un poids. Bouleversant.
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