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Critique de Iguanette
Nous sommes dans les hyperboles. de la première à la dernière ligne, pour rester dans le style du roman.
L'homme est magnifiquement beau. Je cite : "un appollon". L'autrice a un vocabulaire varié pour décrire à quel point il est beau, désirable, et bien sculpté. Chapeau pour cette variété.
La fille est belle, sans le savoir, et c'est bien sûr l'homme qui le remarque, parce qu'il est attiré par elle sans qu'elle le remarque, puisqu'elle n'a pas confiance en elle, encore moins devant cet homme très riche, beau et intelligent.
Je ne l'ai pas encore dit, mais nous sommes aussi bien dans le stéréotype. Barbara Cartland n'a qu'à bien se tenir.
Malgré des qualités de récit et une légèreté dans le ton, je ne continuerai pas l'histoire parce que j'ai été saoulée par ces extrêmes qui ne me font pas rêver.
A recommander aux grands romantiques qui aiment les histoires d'amour à l'Américaine, avec des gens qui réussissent à la force du poignet. D'ailleurs, l'histoire se passe aux USA, comme toujours.
L'homme est magnifiquement beau. Je cite : "un appollon". L'autrice a un vocabulaire varié pour décrire à quel point il est beau, désirable, et bien sculpté. Chapeau pour cette variété.
La fille est belle, sans le savoir, et c'est bien sûr l'homme qui le remarque, parce qu'il est attiré par elle sans qu'elle le remarque, puisqu'elle n'a pas confiance en elle, encore moins devant cet homme très riche, beau et intelligent.
Je ne l'ai pas encore dit, mais nous sommes aussi bien dans le stéréotype. Barbara Cartland n'a qu'à bien se tenir.
Malgré des qualités de récit et une légèreté dans le ton, je ne continuerai pas l'histoire parce que j'ai été saoulée par ces extrêmes qui ne me font pas rêver.
A recommander aux grands romantiques qui aiment les histoires d'amour à l'Américaine, avec des gens qui réussissent à la force du poignet. D'ailleurs, l'histoire se passe aux USA, comme toujours.
