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Critique de Voirac
« JE T'AIME, MOI NON PLUS »
Pauline, dite Pôpô, ne comprend pas ce qui lui arrive : l'amour de sa vie, son mari, la quitte brutalement après de quinze ans de bonheur. Elle va raconter son vécu en deux histoires qui s'entrecroisent, l'une orale actuelle, l'autre écrite sous forme de journal. Ce journal constitue une auto-psychanalyse, mais avec le déni de la cause de la séparation. Cette cause sera révélée par le journal du mari cette fois-ci en fin d'ouvrage. Donc une construction élégante et bien structurée, dans style agréable à lire qui allie harmonieusement tristesse et humour. Les métaphores notemment sont truculentes. Cet épisode de vie, que pourrait vivre tout un chacun, montre une résilience progressive, et prouve « qu'une histoire qui ne se finit pas comme on le souhaite ne se finit pas forcément mal ». L'analyse est si fine et si vécue qu'on se demande si ce cheminement vers l'équilibre n'est pas tiré, au moins en partie, d'une histoire personnelle.
L'essentiel du roman se déroule à Arcachon avec des descriptions de L'Ile aux Oiseaux , du banc Arguin et de la dune du Pilat qui raviront ceux qui connaissent le bassin.
Superbe !
Pauline, dite Pôpô, ne comprend pas ce qui lui arrive : l'amour de sa vie, son mari, la quitte brutalement après de quinze ans de bonheur. Elle va raconter son vécu en deux histoires qui s'entrecroisent, l'une orale actuelle, l'autre écrite sous forme de journal. Ce journal constitue une auto-psychanalyse, mais avec le déni de la cause de la séparation. Cette cause sera révélée par le journal du mari cette fois-ci en fin d'ouvrage. Donc une construction élégante et bien structurée, dans style agréable à lire qui allie harmonieusement tristesse et humour. Les métaphores notemment sont truculentes. Cet épisode de vie, que pourrait vivre tout un chacun, montre une résilience progressive, et prouve « qu'une histoire qui ne se finit pas comme on le souhaite ne se finit pas forcément mal ». L'analyse est si fine et si vécue qu'on se demande si ce cheminement vers l'équilibre n'est pas tiré, au moins en partie, d'une histoire personnelle.
L'essentiel du roman se déroule à Arcachon avec des descriptions de L'Ile aux Oiseaux , du banc Arguin et de la dune du Pilat qui raviront ceux qui connaissent le bassin.
Superbe !
