Virginie Grimaldi sait à chaque fois manier les mots pour nous faire traverser ses histoires en passant par toutes les émotions possibles.
Avec
Les possibles, elle ne déroge pas à la règle.
On ne peut avoir que de l'empathie envers Juliane dont le père perd petit à petit la mémoire et de ce fait, son autonomie et sa raison.
Ce personnage est d'ailleurs véritablement attachant.
Ce n'est pas mon roman préféré de l'auteure, même si l'écriture fluide reste très agréable.
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