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Critique de Shaynning
Dans son genre, la série de l'île d'Errance est un bon moment de lecture.
Dans cet univers , les humains craignent les êtres qui doués de magie ou d'espèces magiques, particulièrement le trio de jeunes hommes que l'on présente dès le début. Bran et ses amis sont d'arrogants et cruels adolescents à la langue bien pendue. Alors qu'ils croisent une jeune femme blessée, Bran s'approche pour lui porter assistance et découvre du même coup qu'elle est une de ces entités magiques dont il a horreur. Alors qu'il tente de lui porter un coup d'épée fatal, la jeune femme le maudit. Bran est désormais sous la forme d'un corbeau parlant le jour et d'un humain croassant la nuit. Il croisera la route de Macha, sorte de sorcière qui peut se transformer en renard et qui ne se laisse pas du tout attendrir par le sort du jeune noble. Alors qu'elle est reçu auprès d'une peuplade de la forêt afin de soigner une jeune malade, Macha constate qu'il lui faut une plante rare pour venir à bout de son mal. Bran pense alors que ladite plante pourrait venir aussi à bout du sort qui pèse contre lui et décide de la suivre.
Soyons honnêtes, le scénario est plutôt simple et déjà vu: une plante magique pour soigner qui croît dans un lieu inhospitalier, des métamorphes vivant l'ostracisation de vilains humains sans réels motifs, un prince arrogant avec des tendances un peu vicieuses, une jeune femme forte en gueule, c'est déjà pas mal vu. de plus, cette malédiction est, à peu de chose près, la même que le célèbre Ballet du Lac des Cygnes, où une princesse se transforme en cygne le jour et en femme la nuit.
Mais on se laisse facilement guider par le récit, qui coule bien et dont le dessin vient définitivement sauver la mise. La couverture aussi est réussie. Pour ce qui est de la fin, c'était très prévisible. Je note aussi que Macha tombe très vite sous le charme de Bran, ça par contre, j'aurais pensé que ce ne serait pas arrivé, parce que Bran est détestable et qu'elle est supposée incarner la fille indépendante doublé d'une vieille âme. À croire que deux personnages adolescents de sexe opposé, forcément, ça doit finir en couple. Un peu déçu de ce côté là.
Donc, c'est une BD distrayante, pas très originale, mais visuellement très plaisante, qui reste dans le déjà-lu sans trop bousculer les conventions.
Dans cet univers , les humains craignent les êtres qui doués de magie ou d'espèces magiques, particulièrement le trio de jeunes hommes que l'on présente dès le début. Bran et ses amis sont d'arrogants et cruels adolescents à la langue bien pendue. Alors qu'ils croisent une jeune femme blessée, Bran s'approche pour lui porter assistance et découvre du même coup qu'elle est une de ces entités magiques dont il a horreur. Alors qu'il tente de lui porter un coup d'épée fatal, la jeune femme le maudit. Bran est désormais sous la forme d'un corbeau parlant le jour et d'un humain croassant la nuit. Il croisera la route de Macha, sorte de sorcière qui peut se transformer en renard et qui ne se laisse pas du tout attendrir par le sort du jeune noble. Alors qu'elle est reçu auprès d'une peuplade de la forêt afin de soigner une jeune malade, Macha constate qu'il lui faut une plante rare pour venir à bout de son mal. Bran pense alors que ladite plante pourrait venir aussi à bout du sort qui pèse contre lui et décide de la suivre.
Soyons honnêtes, le scénario est plutôt simple et déjà vu: une plante magique pour soigner qui croît dans un lieu inhospitalier, des métamorphes vivant l'ostracisation de vilains humains sans réels motifs, un prince arrogant avec des tendances un peu vicieuses, une jeune femme forte en gueule, c'est déjà pas mal vu. de plus, cette malédiction est, à peu de chose près, la même que le célèbre Ballet du Lac des Cygnes, où une princesse se transforme en cygne le jour et en femme la nuit.
Mais on se laisse facilement guider par le récit, qui coule bien et dont le dessin vient définitivement sauver la mise. La couverture aussi est réussie. Pour ce qui est de la fin, c'était très prévisible. Je note aussi que Macha tombe très vite sous le charme de Bran, ça par contre, j'aurais pensé que ce ne serait pas arrivé, parce que Bran est détestable et qu'elle est supposée incarner la fille indépendante doublé d'une vieille âme. À croire que deux personnages adolescents de sexe opposé, forcément, ça doit finir en couple. Un peu déçu de ce côté là.
Donc, c'est une BD distrayante, pas très originale, mais visuellement très plaisante, qui reste dans le déjà-lu sans trop bousculer les conventions.
