AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de bookaure


Pas étonnant que les ouvrages de John Grisham ait inspiré autant de scénarios de films à grand succès!
Les partenaires m'a plongé pour la première fois dans l'univers complexe et fou de la justice américaine.
David Zinc est un jeune avocat de trente et un ans et travaille comme un forcené dans le plus prestigieux cabinet de Chicago, qui se révèle être une véritable usine: il est harcelé par son patron, ne compte pas ses heures, doit faire avec des collègues aussi minables les uns que les autres...et sa vie personnelle en souffre.
Un matin, il décide alors subitement de tout plaquer, et se réfugie au bistrot du coin, pour une journée de beuverie...Il atterrie finalement au soir au cabinet d'avocat Finley&Figg, spécialisé dans les divorces et autres accidents et aux pratiques douteuses. Désirant changer de vie du tout au tout, David décide de s'engager avec ses deux nouveaux associés, Oscar Finley et Wally Figg. Rêvant de grandes plaidoiries, ce dernier vient d'ailleurs d'avoir la "brillante" idée d'intenter une action en justice contre un géant de l'industrie pharmaceutique, le laboratoire Varrick Lab, qu'ils accusent d'avoir commercialisé un médicament sensé soigner le cholestérol mais provoquant de graves effets secondaires non désirables. L'issue du procès sera innatendue.

J'ai beaucoup aimé cette histoire dont le rythme, la dimension donnée aux personnages, les actions donnent la sensation d'être dans un véritable thriller judiciaire. Tout est drôlement bien ficelé et efficace, et l'auteur parvient quand même à nous tenir en haleine tout au long du roman.
C'est aussi pour cette raison que je ne lui ai mis que quatre étoile, car notamment avec la fin, on n'a aussi parfois l'impression que l'auteur s'est tout simplement basé sur un canevas déjà existant pour son histoire, se contentant d'appliquer des recettes qui avaient déjà fait son succès.
Commenter  J’apprécie          151



Ont apprécié cette critique (6)voir plus




{* *}