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Critique de OverTheMoonWithBooks
Au tour de la soeur aînée du clan Tanberry d'avoir "son" épisode : Honey.
D'ailleurs, plutôt que de s'intéresser directement à elle, c'est sur son petit ami australien, Ash, que l'épisode s'attarde. Et c'est donc à travers les yeux du jeune homme qu'est vue l'évolution de l'adolescente.
Le côté globe-trotteur du récit d'As est assez sympa, mais pour le reste, je suis restée dans l'incompréhension... Alors que ces dernières années la pop culture et la littérature jeunesse fait au mieux pour éviter de transmettre des messages "toxiques" pour le développement des jeunes dans leurs relations, là on est en plein dans ces clichés en veux-tu en voilà.
Que ce soit par la recherche constante de validation du garçon, par les phrases de type "ma vie de vaut rien sans toi", "si tu n'es pas là je ne suis rien"... Bonjour la dépendance affective, et au revoir l'estime de soi.
Bref, je n'ai pas bien compris ces choix de la romancière. Pour le côté graphique, les dessinateurs ont gardé ce côté acidulé des couleurs qui plaît tellement aux ados et pré-ados. Mais je n'ai pas compris les mises en scène de Cathy Cassidy me paraissent incompréhensible au regard des arguments que j'évoquais précédemment.
D'ailleurs, plutôt que de s'intéresser directement à elle, c'est sur son petit ami australien, Ash, que l'épisode s'attarde. Et c'est donc à travers les yeux du jeune homme qu'est vue l'évolution de l'adolescente.
Le côté globe-trotteur du récit d'As est assez sympa, mais pour le reste, je suis restée dans l'incompréhension... Alors que ces dernières années la pop culture et la littérature jeunesse fait au mieux pour éviter de transmettre des messages "toxiques" pour le développement des jeunes dans leurs relations, là on est en plein dans ces clichés en veux-tu en voilà.
Que ce soit par la recherche constante de validation du garçon, par les phrases de type "ma vie de vaut rien sans toi", "si tu n'es pas là je ne suis rien"... Bonjour la dépendance affective, et au revoir l'estime de soi.
Bref, je n'ai pas bien compris ces choix de la romancière. Pour le côté graphique, les dessinateurs ont gardé ce côté acidulé des couleurs qui plaît tellement aux ados et pré-ados. Mais je n'ai pas compris les mises en scène de Cathy Cassidy me paraissent incompréhensible au regard des arguments que j'évoquais précédemment.
