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Critique de Lilo0606160616
« Alexander Fleming : Trafic de bactéries » ou un petit livre bien agréable à lire et plein de peps.
Petit topo sur l'histoire : Londres, 1942. L'Angleterre vient de repousser les Allemands, la vie reprend doucement son cours et les habitants tentent de faire face aux restrictions imposées par la guerre. Arthur et Margaret, 10 ans, viennent de retrouver leurs parents après avoir été mis à l'abri chez leurs grands-parents en Ecosse. Alors qu' ils tentent d'arrondir les fins de mois en vendant des journaux, ils tombent sur une affiche leur proposant de monnayer leurs larmes pour faire avancer la science. Curieux par nature et voyant une opportunité de se faire de l'argent facile, nos deux frère et soeur tentent l'aventure et vont faire la rencontre d'un personnage clé de l'histoire, le Professeur Fleming (créateur de la pénicilline) qui va les transporter dans un univers scientifique autant fougueux que ludique.
J'ai vraiment pris plaisir à lire ce roman qui renferme à mes yeux un cocktail efficace contre la grisaille : une écriture fluide, des personnages dynamiques, un côté historique qui rappelle avec douceur le contexte du récit et une histoire qui m'a permis d'en apprendre beaucoup sur la pénicilline, les molécules et les personnages importants qui ont fait avancer la science.
L'auteure Charlotte Grossetête a su, de par sa capacité à « vulgariser » certains termes, rendre son récit captivant et accessible à tous. Il est parfaitement adapté au plus jeune car il apprend en douceur tout en préservant le plaisir de la lecture et de l'aventure, notamment grâce au choix d'un récit rythmé qui évite aux jeunes lecteurs de perdre le fil. Les chapitres ne sont ni trop longs ni trop courts et la police d'écriture est confortable (les lignes sont suffisamment espacées, ce peut être un détail mais j'ai trouvé cela agréable pour les yeux).
En ce qui concerne la couverture, oeuvre d'Adeline Pham, je la trouve très fraîche, colorée et donne vraiment envie de se plonger dans le roman.
On sent sincèrement le plaisir qu'a pris l'auteure à l'écriture et c'est un bonheur de parcourir ces pages pleines de vie et d'anecdotes.
Un grand merci à Babélio et aux éditions le Pommier pour cette (très) belle découverte.
Petit topo sur l'histoire : Londres, 1942. L'Angleterre vient de repousser les Allemands, la vie reprend doucement son cours et les habitants tentent de faire face aux restrictions imposées par la guerre. Arthur et Margaret, 10 ans, viennent de retrouver leurs parents après avoir été mis à l'abri chez leurs grands-parents en Ecosse. Alors qu' ils tentent d'arrondir les fins de mois en vendant des journaux, ils tombent sur une affiche leur proposant de monnayer leurs larmes pour faire avancer la science. Curieux par nature et voyant une opportunité de se faire de l'argent facile, nos deux frère et soeur tentent l'aventure et vont faire la rencontre d'un personnage clé de l'histoire, le Professeur Fleming (créateur de la pénicilline) qui va les transporter dans un univers scientifique autant fougueux que ludique.
J'ai vraiment pris plaisir à lire ce roman qui renferme à mes yeux un cocktail efficace contre la grisaille : une écriture fluide, des personnages dynamiques, un côté historique qui rappelle avec douceur le contexte du récit et une histoire qui m'a permis d'en apprendre beaucoup sur la pénicilline, les molécules et les personnages importants qui ont fait avancer la science.
L'auteure Charlotte Grossetête a su, de par sa capacité à « vulgariser » certains termes, rendre son récit captivant et accessible à tous. Il est parfaitement adapté au plus jeune car il apprend en douceur tout en préservant le plaisir de la lecture et de l'aventure, notamment grâce au choix d'un récit rythmé qui évite aux jeunes lecteurs de perdre le fil. Les chapitres ne sont ni trop longs ni trop courts et la police d'écriture est confortable (les lignes sont suffisamment espacées, ce peut être un détail mais j'ai trouvé cela agréable pour les yeux).
En ce qui concerne la couverture, oeuvre d'Adeline Pham, je la trouve très fraîche, colorée et donne vraiment envie de se plonger dans le roman.
On sent sincèrement le plaisir qu'a pris l'auteure à l'écriture et c'est un bonheur de parcourir ces pages pleines de vie et d'anecdotes.
Un grand merci à Babélio et aux éditions le Pommier pour cette (très) belle découverte.
