N'est-ce que moi qui trouve dans ce "Semeur de cendres" de forts accents romantiques, alors que
Charles Guérin est plutôt connu pour être parnassien et symboliste ?
Toujours est-il que, malgré le sujet (l'amour, la vanité des choses, la foi), qui à force d'être traité devient un peu lancinant, c'est une fièvre d'amour qui mérite le détour. L'oeuvre au lyrisme fervent d'un poète déjà épanoui - il mourra à 33 ans.
Quelques joies percent, mais la mélancolie domine. Heureusement pour nous, mélodieuse.
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