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Critique de bdelhausse
Nevik est réhabilité par le président qui lui pardonne l'attentat survenu contre lui. du moins, c'est ce qu'on aimerait lui faire croire. Les principaux responsables de l'éviction de Nevik sont morts. Morts suspectes, bien sûr. Cela a l'apparence de suicides ou d'accidents, mais les Stryges sont derrière. Et de nouveaux pions viennent remplacer les anciens.
Nevik, Melly et 2 amis versés dans les forces occultes décident de former une fine équipe afin de faire face à l'adversité.
Mais la mystérieuse femme qui sauve la mise à Nevik (et au président) avoue ne pas travailler au FBI, mais pour une agence dont elle tait le nom. Elle persuade Nevik de partir en Amérique du Sud. Sur le film de l'assassinat du patron d'une usine d'armement et d'équipements électroniques (cf. tome 2), elle a repéré des silhouettes humanoïdes ailées... elle veut retrouver ces Stryges... mais Nevik et elle font chou blanc.
De retour aux USA, ils sont confrontés à Melly très perturbée pour avoir vu une peinture représentant une créature ailée... celle qu'elle voit dans ses cauchemars et dont elle se dit peu à peu qu'elle est bien réelle et pas seulement une créature isssue de son imagination.
On progresse dans le récit. Peu à peu. C'est parfois un peu lent, mais on ne s'ennuie quand même pas, il s'installe un rythme propre à la saga. Les rouages sont clairs, bien développés. On se situe toujours dans cette aura de complotisme, avec trahisons et contre-trahisons. Personnellement, je prends.
Nevik, Melly et 2 amis versés dans les forces occultes décident de former une fine équipe afin de faire face à l'adversité.
Mais la mystérieuse femme qui sauve la mise à Nevik (et au président) avoue ne pas travailler au FBI, mais pour une agence dont elle tait le nom. Elle persuade Nevik de partir en Amérique du Sud. Sur le film de l'assassinat du patron d'une usine d'armement et d'équipements électroniques (cf. tome 2), elle a repéré des silhouettes humanoïdes ailées... elle veut retrouver ces Stryges... mais Nevik et elle font chou blanc.
De retour aux USA, ils sont confrontés à Melly très perturbée pour avoir vu une peinture représentant une créature ailée... celle qu'elle voit dans ses cauchemars et dont elle se dit peu à peu qu'elle est bien réelle et pas seulement une créature isssue de son imagination.
On progresse dans le récit. Peu à peu. C'est parfois un peu lent, mais on ne s'ennuie quand même pas, il s'installe un rythme propre à la saga. Les rouages sont clairs, bien développés. On se situe toujours dans cette aura de complotisme, avec trahisons et contre-trahisons. Personnellement, je prends.
