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Critique de Tbilissi
J'adore autant Ariol que mes enfants, sa simplicité et son imagination, et toutes les situations plus réalistes les unes que les autres tout en restant vraiment très drôles.
Je trouve cet album particulièrement réussi.
Déjà, il met les arts à l'honneur : la peinture avec une géniale visite de musée durant laquelle Batégaille, le cheval constamment endormi, s'éveille et s'anime comme par magie, et surtout la musique grâce à Kwax, le copain canard d'Ariol (le "canard calé" éponyme) qui joue de la flûte traversière et dont toute la famille est musicienne.
Et surtout il met le doigt de manière très juste sur des sujets de société : le mariage mixte et l'adoption (l'oncle Petro, un âne, a une petite amie oie et explique sa vision des choses à Ariol), l'aide aux migrants (la famille de Kwax a créé une association "les canards solidaires" pour leur prêter assistance) et l'exposition aux écrans (les parents d'Ariol se lamentent du temps que leur fils passe derrière sa console, mais tout en parlant de ça l'un surfe sur son smartphone et l'autre sur son ordinateur portable).
Le tout avec beaucoup d'à-propos et sans culpabilisation.
Les enfants captent pleinement le message... Bravo !
Je trouve cet album particulièrement réussi.
Déjà, il met les arts à l'honneur : la peinture avec une géniale visite de musée durant laquelle Batégaille, le cheval constamment endormi, s'éveille et s'anime comme par magie, et surtout la musique grâce à Kwax, le copain canard d'Ariol (le "canard calé" éponyme) qui joue de la flûte traversière et dont toute la famille est musicienne.
Et surtout il met le doigt de manière très juste sur des sujets de société : le mariage mixte et l'adoption (l'oncle Petro, un âne, a une petite amie oie et explique sa vision des choses à Ariol), l'aide aux migrants (la famille de Kwax a créé une association "les canards solidaires" pour leur prêter assistance) et l'exposition aux écrans (les parents d'Ariol se lamentent du temps que leur fils passe derrière sa console, mais tout en parlant de ça l'un surfe sur son smartphone et l'autre sur son ordinateur portable).
Le tout avec beaucoup d'à-propos et sans culpabilisation.
Les enfants captent pleinement le message... Bravo !
