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Critique de Tbilissi
"Touche pas à mon veau" fait référence à Pouyastruc, le petit veau de la classe d'Ariol, qui se fait harceler par des élèves de CM2.
Avec, comme toujours, une pointe d'humour, ce sujet grave est tout de même traité avec sérieux, et le papa qui intervient insiste sur le fait que personne ne mérite d'être persécuté, et qu'il faut vraiment en parler à un adulte si cela arrive malgré tout.
En dehors de cette histoire plus pesante qu'à l'habitude, on retrouve le joyeux regard d'Ariol sur son quotidien de petit garçon (enfin, de petit ânon) : son maître de CM1 M. le Blount qui leur fait faire des choses extraordinaires (un volcan, une radio), ses grands-parents qui ont tous une sacrée personnalité, son imagination débordante, son amour caché pour Petula, et bien sûr les facéties de son copain Ramono, le préféré de mes enfants !
Un seul petit regret : la plupart de ces aventures ont déjà été découvertes dans "j'aime lire". Je le saurai avant d'acheter le prochain album.
Avec, comme toujours, une pointe d'humour, ce sujet grave est tout de même traité avec sérieux, et le papa qui intervient insiste sur le fait que personne ne mérite d'être persécuté, et qu'il faut vraiment en parler à un adulte si cela arrive malgré tout.
En dehors de cette histoire plus pesante qu'à l'habitude, on retrouve le joyeux regard d'Ariol sur son quotidien de petit garçon (enfin, de petit ânon) : son maître de CM1 M. le Blount qui leur fait faire des choses extraordinaires (un volcan, une radio), ses grands-parents qui ont tous une sacrée personnalité, son imagination débordante, son amour caché pour Petula, et bien sûr les facéties de son copain Ramono, le préféré de mes enfants !
Un seul petit regret : la plupart de ces aventures ont déjà été découvertes dans "j'aime lire". Je le saurai avant d'acheter le prochain album.
