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Critique de Holon


Steven Guilbeault (Le bon, la brute et le truand) est un essai en ce qui concerne l'intelligence artificielle. Mettons tout de suite les pendules à l'heure l'intelligence artificielle n'a pas conscience de son existence car il est le produit mathématique d'algorithmes d'apprentissage qui le rend différent d'un logiciel courant car cette entité peut apprendre et s'amélioré et avoir des performances au-delà de l'intellect humain. Dans 20 ou 30 ans peut-être que cette entité sera capable de penser. Pour le bouquin en question je vois bien que l'auteur veut et espère la voiture électrique et autonome grâce à l'I.A. moins d'accidents de la route et moins de pollution. Mon opinion est que toute l'infrastructure pour passer du moteur à essence à celui de la mobilité électrique ne garantit pas moins de pollution, les piles demeure un problème de morale (esclavage au Congo) tout comme les piles de nos téléphones intelligent les terres rares qu'ils faut pour les fabriquer se trouve la ou les droits de l'homme n'existe pas. Je suis d'accord avec l'auteur l'I.A. va améliorer les services de santé et poser plus vite que l'homme le diagnostic approprié. Par contre je trouve l'auteur bien naïf de penser qu'avec des protocoles et des ententes tout va aller pour le mieux, il n'y a qu'à regarder les ententes avec l'Iran, la Chine et autres bafouées car comme Charles de Gaulle invoquait les pays n'ont pas d'amis simplement des intérêts communs. Les vrais problèmes de l'I.A. sont avec le temps rendre l'homme inutile et les guerres affreuses.
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