AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de tchouk-tchouk-nougat


La saga familiale se poursuit avec la fin de ce diptyque sur la troisième génération de banquiers Saint Hubert. Joseph fait montre de talent incroyable pour faire de la BGI une des plus grande banque au monde mais les affaires ne sont pas bonnes pour les histoires de famille.

Nous voici de nouveau plongés dans le monde de la finance entre 1882 et 1914. Avec leur souci du détail historique les auteurs replacent des faits authentiques comme les emprunts russes, le scandale du panama, le prêt au gouvernement américain ou encore la grande escroquerie de la famille Humbert. J'avoue que certaines données techniques sur les spéculations et autre histoire d'argent ne me passionnent pas plus que ça mais la fresque historique est intéressante.
Le tout replacé dans une saga familiale, entre amour, haine et jalousie de ses différents acteurs d'un même sang.
J'ai comme l'impression que c'est le dernier tome car les gêneurs décèdent, pour ne plus laisser qu'une famille soudée et aimante... Une sorte de happy-end dans le monde de la finance. Comme quoi on peut avoir l'argent et la joie!

Niveau dessin ce n'est pas le mieux des trois générations. J'ai trouvé les décors trop lisses et trop froids. Ca manque de vivant. Les visages des personnages sont parfois disgracieux et les expressions pas toujours bien réalisées.
Commenter  J’apprécie          110



Ont apprécié cette critique (10)voir plus




{* *}