Nul besoin de présenter
King Kong, le gorille kidnappé et enragé t effrayé par un monde qu'il ne connaît pas et effraie New York sous l'oeil attentif des caméras, trop contents de condamner à travers l'animal la sauvagerie, le "primitif".
Certes la technique de papier découpé émerveille toujours autant. Mais pour l'instant, c'est l'album d'
Antoine Guillopé qui m'a le moins séduite.
Il m'a manqué un propos plus personnel de l'auteur, un développement d'un aspect inattendu.
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