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Critique de gill
Quatre pièces de Sacha Guitry composent ce recueil édité aux éditions du "livre contemporain" en 1959.
La première "Mon père avait raison" a été crée , en 1919, au théâtre de la Porte Saint-Martin.
L'architecte Charles Béranger travaille dans son bureau quand le téléphone sonne. Sa femme Germaine lui annonce qu'elle part avec son amant, le quittant sans espoir de retour.
Trois générations de Béranger sont sonnés par la nouvelle : Charles, le mari délaissé mais aussi Maurice le jeune fils sans oublier Adolphe, le grand-père philosophe cynique et jouisseur.
Vingt ans passent. Maurice est devenu un homme, volant de maîtresses en maîtresses alors que son père, vieillissant, reçoit des nouvelles de Germaine qui voudrait le revoir.....
Sacha Guitry nous offre avec ce morceau une pièce à la fois drôle et profonde qui n'évite pourtant pas le piège d'un certain machisme parfois insolent.
La deuxième pièce du recueil, "La prise de Berg-Op-Zoom" est une comédie en 4 actes. Quasiment impossible à résumer, elle est trop surchargée par les intrigues secondaires et par la multitude des personnages, pour pouvoir, malgré le style incisif et léger de Guitry, entraîner le lecteur dans la suite de rebondissements qui la mène poussivement à son épilogue.
"Une paire de gifles" est la troisième pièce présentée dans ce volume. C'est une petite comédie, drôle, assez courte en 1 acte.
Dans une soirée mondaine, un homme attire une femme à l'écart dans un salon. Il veut devenir son amant. Elle, qui tentait auparavant de le séduire, ne le veut plus. Elle a trop attendu.
Furieux, il lui donne une gifle. Quand alerté par le bruit, le mari survient.....
Sacha Guitry se livre, ici, à une petite variation souriante sur les infortunes d'un mari trompé.
La dernière pièce du recueil, "Une lettre bien tapée" est une comédie en 1 acte qui fut crée pour Lana Marconi en octobre 39 au théâtre de la Madeleine.
A Orléans, dans un hôtel, un homme d'affaires réclame une dactylo. On lui envoie une jeune personne très jolie qui prend un peu trop d'intérêt à la lettre dictée....
Le rideau tombe, en même temps que se referment les pages de livre, sur une note légère et souriante. Sacha Guitry, ici, s'amuse.
La première "Mon père avait raison" a été crée , en 1919, au théâtre de la Porte Saint-Martin.
L'architecte Charles Béranger travaille dans son bureau quand le téléphone sonne. Sa femme Germaine lui annonce qu'elle part avec son amant, le quittant sans espoir de retour.
Trois générations de Béranger sont sonnés par la nouvelle : Charles, le mari délaissé mais aussi Maurice le jeune fils sans oublier Adolphe, le grand-père philosophe cynique et jouisseur.
Vingt ans passent. Maurice est devenu un homme, volant de maîtresses en maîtresses alors que son père, vieillissant, reçoit des nouvelles de Germaine qui voudrait le revoir.....
Sacha Guitry nous offre avec ce morceau une pièce à la fois drôle et profonde qui n'évite pourtant pas le piège d'un certain machisme parfois insolent.
La deuxième pièce du recueil, "La prise de Berg-Op-Zoom" est une comédie en 4 actes. Quasiment impossible à résumer, elle est trop surchargée par les intrigues secondaires et par la multitude des personnages, pour pouvoir, malgré le style incisif et léger de Guitry, entraîner le lecteur dans la suite de rebondissements qui la mène poussivement à son épilogue.
"Une paire de gifles" est la troisième pièce présentée dans ce volume. C'est une petite comédie, drôle, assez courte en 1 acte.
Dans une soirée mondaine, un homme attire une femme à l'écart dans un salon. Il veut devenir son amant. Elle, qui tentait auparavant de le séduire, ne le veut plus. Elle a trop attendu.
Furieux, il lui donne une gifle. Quand alerté par le bruit, le mari survient.....
Sacha Guitry se livre, ici, à une petite variation souriante sur les infortunes d'un mari trompé.
La dernière pièce du recueil, "Une lettre bien tapée" est une comédie en 1 acte qui fut crée pour Lana Marconi en octobre 39 au théâtre de la Madeleine.
A Orléans, dans un hôtel, un homme d'affaires réclame une dactylo. On lui envoie une jeune personne très jolie qui prend un peu trop d'intérêt à la lettre dictée....
Le rideau tombe, en même temps que se referment les pages de livre, sur une note légère et souriante. Sacha Guitry, ici, s'amuse.
