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Critique de Roxanne78


L'eau, celle de la mer, celle de la fontaine ou de la source, celle qui lave, décrasse et purge la mémoire d'une autre eau, celle du seau qui ne sert qu'à te ranimer afin de prolonger le supplice.
Le soleil, celui de l'été qui, dans une orgie de couleurs, se pose dans le creux de tes yeux et la lumière qui vire au blanc électrique au fur et à mesure que le voltage augmente.
L'amour, ton sexe qui, sous la langue de ton amante, durcit et le courant électrique qui afflue de tes testicules à la mémoire, alors c'est ta langue qui se délie.
Quand le chameau était crieur public et la puce barbier, les montagnes, le ciel et la mer étaient bleus …

Treize nouvelles, ce qui précède essaie de donner un aperçu de la première. La deuxième et la troisième m'ont aussi bouleversée. J'ai complètement décroché sur les suivantes.
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