La Confrérie du sang, tome 1 : L'ombre des dieux

C'est sur fond de légendes nordiques que se déroule le récit.
Des enfants sont enlevés; des Vaesens, créatures magiques de différentes natures, font leurs apparitions; les conflits entre les Jarls s'intensifient. C'est dans cette ambiance pesante que nous faisons la connaissance des 3 personnages que nous suivrons tout le long du roman.
Orka, une ancienne guerrière qui va devoir reprendre les armes; Varg, un ex esclave qui veut venger sa soeur; et enfin Elvar, qui recherche une famille au sein des mercenaires.

John Gwynne agrémente L'Ombre des Dieux d'un folklore considérable permettant ainsi de saisir le lecteur au point de ne plus pouvoir lâcher le livre avant le dénouement. le charme opère, l'univers attire et fascine. C'est le gros point positif du roman.
L'intrigue se développe gentiment, le potentiel est énorme et l'auteur s'amuse à bousculer ses personnages, les drames et les situations périlleuses s'enchainent pour notre plus grand plaisir. le récit est sanglant, on taille dans la masse, aucune pitié ne sera tolérée.

Bizarrement, j'ai été déçue par la construction de l'histoire qui ressemble beaucoup à celle des ses autres livres. Chaque chapitre renvoi à un personnage et nous fait suivre sur quelques pages ses aventures. Si cela m'avait bien plus dans Malice et Bravoure, j'avoue ne pas avoir accroché ici. J'ai d'ailleurs trouvé qu'il y avait de nombreux points communs entre les 2 sagas alors qu'elles évoluent chacune dans un monde différent.
Je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages, aucune empathie. J'ai suivi le récit sans véritablement m'investir dans leur histoire mais je pense que les multiples expressions qui revenaient sans cesse dans le récit ne m'ont pas aidées. J'en avais assez de les lire.

Mais malgré tout ca, j'ai aimé ce livre ! le monde crée par John Gwynne m'a beaucoup plu et j'ai apprécié arpenter les terres de Vigrid.

Voici le dragon d'ombre qui s'annonce.
Voici entre ses ailes de lettres vêtues le commencement d'une saga aussi grande et solide qu'un pan de roche.

Dans ce pays des royaumes brisés où l'hiver s'attarde comme un vieux guerrier refusant d'oublier le passé, naissent les légendes, vacillent les dieux et s'entremêlent les destins.
Les destins de trois guerrières et guerriers, chacun portant leurs cicatrices, cherchant à se forger leur propre chemin avec comme vieux corbeau la mort perchée sur leurs épaules, son souffle glaçant sur leurs nuques.

Avec une habileté magistrale, John Gwynne entrelace ces fils rouges pour nous tisser une magnifique tapisserie sauvage, un monde de souffrance, de crocs, de griffes et de fers tranchants, de vies brèves et de morts douloureuses.
De vengeance, de liberté et d'honneur.

Aux côtés de moissonneurs d'âmes, de demi-troll et de brise-bouclier, nous arpentons les pages de "L'ombre des Dieux" avec une lame en main, petites silhouettes que nous sommes perdues dans un océan de deuil où l'on distingue dans l'écume de ses vagues tout le sang versé et les serments passés.
Grands affrontements, prophéties immémoriales et héros plus grands que nature sont légion dans ce récit cachant une complexité profonde et des nuances morales.

Ce premier volet, auquel les dieux souriraient s'ils n'étaient pas tous morts, se dresse d'ores et déjà comme un nouveau classique de la fantasy épique. Une quête qui deviendra immortelle, survivant dans les chants et les sagas avec pour réponse le sang, toujours le sang.

Alors en attendant la sortie du second tome, gardez vos esprits vifs, vos lames bien aiguisées et vos cornes remplies !
SKÁL !

John Gwynne aime créer des univers sombres, épiques, dans lequel nombre de personnages entrecroisent leur destin. C'est encore le cas dans cette nouvelle saga, dont j'ai pu lire le premier tome.

Dans l'ombre des Dieux, les êtres humains vivent dans un monde dévasté, celui que leur ont laissé les Dieux après une guerre sanglante. Là, ils doivent se défendre contre moult dangers, dont les vaesens, des monstres. Dans ce contexte, nous suivons essentiellement trois personnages :
• Orka d'abord. Une ancienne mercenaire, qui a raccroché les armes, et vit désormais avec son mari et son fils dans une ferme isolée. Mais le jour où ce dernier, Breca, disparaît, Orka va mener l'enquête… et devoir affronter son passé.
• En parallèle, nous découvrons Varg, un ancien esclave qui veut se venger des assassins de sa soeur, et dont la route va croiser celle de la Confrérie du sang, une compagnie de mercenaires un peu particulière… (et bien mystérieuse, je suis curieuse d'en apprendre plus sur eux !)
• Il y a aussi Elvar, qui a difficilement gravi les échelons d'une troupe de mercenaires, et a peur de devoir retourner affronter sa famille.

Comme toujours chez cet auteur, le décor se met lentement en place. Les personnages apparaissent peu à peu, on commence tout juste à les cerner. Tous ont une faille, un passé douloureux qui nous donne envie de poursuivre l'aventure en leur compagnie et de voir où tout cela peut bien les mener. Ce sont aussi des guerriers hors du commun. Rien de surprenant, puisque l'auteur s'inspire de la mythologie nordique pour bâtir cet univers qui m'intrigue tout particulièrement.

C'est donc avec intérêt que j'ai lu ce premier opus. On alterne entre description des personnages, mythes, rebondissements. C'est un premier tome prometteur, pour ceux qui comme moi aiment la fantasy épique, et les quêtes en apparence impossibles.

Niveau rythme, John Gwyne conserve cette habitude d'alterner de courts chapitres et de réguliers changements de vue. Il faut s'y habituer. C'est clairement ce qui me pose le plus de problème dans ses romans, on a, je trouv,e à peine le temps de se remémorer ce qu'il s'était passé précédemment qu'on rechange de personnage.

Mais à part cela, c'était sympathique (attention, pas drôle non plus ! C'est très sombre et sanglant...). Un peu dense, et encore bien mystérieux certes, mais il y a un potentiel important dans cette intrigue. Vivement la suite, que je voie comment tout cela évolue !

Dans "L'ombre des dieux", John Gwynne utilise la mythologie nordique comme toile de fond pour créer un univers riche et complexe où les dieux et les monstres coexistent avec les humains. Nous suivons plusieurs personnages principaux, chacun ayant son propre parcours et sa propre voix. L'auteur parvient à créer des personnages complexes et réalistes, avec des motivations et des émotions bien développées. On s'attache rapidement à eux et on se sent investi dans leur destinée.
•
Les scènes d'action sont particulièrement bien écrites, avec des combats épiques et des descriptions détaillées qui permettent au lecteur de se plonger pleinement dans l'action. L'univers créé par Gwynne est également très bien développé. L'auteur a clairement consacré beaucoup de temps à la construction de son univers, et cela se reflète dans les détails et la cohérence de l'histoire. Mais malheureusement j'ai trouvé le début du livre un peu lent, j'ai eu du mal à pleinement me lancer dedans si ce n'est à partir du milieu du récit.
J'hésite encore à savoir si je vais poursuivre ou non cette saga

Merci John pour ces meufs badass ! Alooooooors ! J'ai un avis plutôt mitigé, mais ne me tapez pas sur les doigts avant que je m'explique !
J'ai trouvé ce livre très compliqué à lire, je ne sais pas si c'est parce que j'étais trop fatigué ou si c'est le cas pour tout le monde. L'auteur nous balance tout un tas de personnages d'un coup sans qu'on ait un récapitulatif des personnages à la fin du livre (comme dans le Prieuré de l'Oranger, par exemple). Je ne savais jamais qui était qui, sauf pour le point de vue d'Orka qui, pour le coup, était assez bien ficelé pour qu'on comprenne tout. Je pense avoir oublié 95 % des prénoms des personnages des deux guildes/confréries… Donc, c'était très dur pour moi d'apprécier ma lecture. Par contre, je lirai la suite, car l'histoire est prenante et la fin est parfaite. La Fantasy, la magie, la mythologie, et le world building sont tous très bien construits, et on voit que l'auteur a fait des recherches pour que son récit soit crédible. Je vous conseille de lire les TW avant de le lire, car je n'ai jamais vu des combats aussi violents (je suis un bébé de la Fantasy adulte !), et des combats, il y en a presque à tous les chapitres ! Je suis un peu nul pour imaginer des scènes de combat, donc parfois je ne comprenais pas trop ce qui se passait…
Le plus gros point positif du livre, à mes yeux, sont ses 3 personnages principaux. Déjà deux femmes badass qui tabassent bien comme il faut, c'est vraiment cool ! Et j'ai beaucoup aimé Varg, son évolution est super sympa à suivre, et j'ai aimé qu'on parle pas mal de ses sentiments. de plus, avoir un personnage de mère comme Orka est aussi, je trouve, rare dans des livres de Fantasy !

Lien : https://saladedelivre.com/

Bienvenue dans cette histoire sombre et remplie d'aventures et de légendes !

On va suivre 3 POVs, Orka (mon personnage préféré), Varg, et Elvar. Ils mènent chacun leur vie dans leur coin, mais on se rend compte qu'au fur et à mesure, leurs histoires se rejoignent. On va voir Orka remuer ciel et terre afin de retrouver son fils qui a disparu. Varg rejoint la confrérie du sang, ce qui lui permet d'apprendre à se connaître, et nous aide à comprendre beaucoup de choses dans le world building. Elvar est dans un autre groupe de mercenaires, et c'est grâce à son POV qu'on va comprendre beaucoup de choses de l'univers, notamment la mythologie et toutes les histoires autour des dieux.

J'ai eu un énorme coup de coeur pour le personnage d'Orka, que j'ai trouvé d'une force incroyable et qui m'a aussi profondément touché. Tous les personnages sont faits de nuances de gris, et il y a une immense quantité de personnages secondaires hyper intéressants !

L'univers est vraiment incroyable !! C'est l'une des grandes qualités de cet auteur de créer des univers riches, complexes, variés et cohérents. L'intrigue est géniale ! Vraiment bien menée, très prenante, on a vraiment envie de découvrir tout ce qu'il se passe et d'en apprendre plus !

Le petit point négatif pour moi est un problème de rythme. Sur les trois différents POVs, il n'y en a qu'un seul qui m'a convaincu à 1000 %, c'est celui d'Orka. Celui d'Elvar était vraiment très intéressant, mais je n'ai pas réussi à être convaincu par son personnage qui m'a laissé indifférente. Et Varg est un personnage que j'ai trouvé attachant. J'ai beaucoup aimé ses différentes remises en question, mais contrairement à Elvar, j'ai trouvé son intrigue un peu plus lente et moins intéressante. En fait, j'avais tout le temps hâte d'être aux chapitres d'Orka. Et je trouve cela dommage d'avoir été convaincu par seulement 1 POV sur 3.

Mais je tiens à répéter à quel point l'intrigue est incroyable ! D'ailleurs, j'ai été très fière de moi parce que j'ai réussi à deviner quelque chose de primordial dans l'histoire, et j'ai adoré voir ma théorie prendre vie au fur et à mesure des pages.

J'ai aussi adoré découvrir une mythologie nordique plus méconnue. On ne revoit pas pour la millième fois Thor, Odin et Loki (même si je les adore), mais on découvre les Liv-Rifa, Ulfrir, ou encore Orna. On retrouve aussi un bestiaire vraiment travaillé et détaillé, créant un univers vraiment fourni et incroyable !

En conclusion, une vraie bonne fantasy adulte avec un univers riche et complexe inspiré de la mythologie nordique.

“𝐎𝐧 𝐞𝐬𝐭 𝐥𝐚 𝐂𝐨𝐧𝐟𝐫é𝐫𝐢𝐞 𝐝𝐮 𝐒𝐚𝐧𝐠, 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐩𝐫𝐨𝐜𝐡𝐞𝐬 𝐞𝐧𝐜𝐨𝐫𝐞 𝐪𝐮𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐩𝐚𝐫𝐞𝐧𝐭𝐬. 𝐔𝐧𝐞 𝐟𝐫𝐚𝐭𝐞𝐫𝐧𝐢𝐭é, 𝐮𝐧𝐞 𝐬𝐨𝐫𝐨𝐫𝐢𝐭é ; 𝐨𝐧 𝐯𝐢𝐭 𝐞𝐭 𝐨𝐧 𝐦𝐞𝐮𝐫𝐭 𝐞𝐧𝐬𝐞𝐦𝐛𝐥𝐞.”

Mai 2021. The Shadow of the Gods, le tout dernier livre de John Gwynne sort et, naturellement, je me jette dessus. 😁 Il faut dire que je sors tout juste des 7 livres dans l'univers des Terres Bannies et que j'ai donné 5 étoiles à tous sauf Malice. J'avais énormément d'attentes et, comme on aurait pu s'en douter, j'ai été déçu. Alors forcément, avec un peu de recul, une relecture des romans des Terres Bannies en parralèle — avec un ressenti différent de ma première lecture — j'avais hâte de relire L'Ombre des Dieux pour me forger un nouvel avis !

Si je ne change pas ma note de 4 🌟 pas rapport à 2021, je tiens à préciser que c'est un 4 🌟 de 2023. Si vous suivez un peu ce que je publie ici, les bouquins à 4 🌟 et + il n'y en a pas des masses cette année si j'enlève les relectures et les romans qui bénéficient d'une bonne note car je ne suis pas (plus) objectif avec certains auteurs/autrices. 🤭 Quoi qu'il en soit, L'Ombre des Dieux est une bien meilleure entame de série que Malice. Oui, j'ai donné 5 🌟 à Malice lors de ma relecture mais c'est parce que je sais déjà ce qu'il va se passer, j'aime les personnages, etc, mais la première fois j'ai donné 3 🌟 au bouquin et je n'étais franchement pas convaincu.

Seulement 3 points de vue pour ce premier roman ; séparés certes ; mais les liens se font progressivement. Gwynne reste assez mystérieux sur l'intrigue et celle-ci se dévoile réellement que sur la toute fin du roman ce qui est à mes yeux le point noir du livre. le fait que les 3 points de vue sont séparés et l'intrigue pas forcément évidente dès le départ fait que ce n'est pas toujours particulièrement captivant. On voyage beaucoup, on se court un peu après... Là où Gwynne excelle dans ce tome c'est au niveau de l'ambiance et de l'atmosphère.

Si Malice fait un peu gentillet par moments (en comparaison, s'entend), L'Ombre des Dieux est un roman sombre, violent, et dépeint un univers sans pitié. ⚔️

Dans Malice de nombreux personnages sont relativement jeunes et naïfs et on a vraiment à faire à un récit initiatique pour certains d'entre eux. Ici, même si on suppose que l'un d'entre eux est somme toute assez jeune aussi, les points de vue proposés par Gwynne sont globalement plus matures (faute à l'univers profondément impitoyable d'inspiration scandinave/viking).

Comme d'habitude, même si je dis qu'on voyage beaucoup, l'auteur c'est John Gwynne. 😄 Donc ça va vite, il y a de l'action (traduction : bagarre), et les chapitres sont courts ce qui contribue encore plus à cette impression de rythme effréné. 10 pages max et on change de point de vue. C'est parfois pénible car Gwynne n'hésite pas à s'arrêter juste quand ça devient intéressant... après il n'y a que 2 autres points de vue donc c'est l'affaire de 15/20 pages max.

Bref. Pas de spoil, j'ai lu le second en VO, mais je ne sais pas comment la série se termine. Est-ce qu'elle vaudra autant le coup que la tétralogie des Terres Bannies ? Je ne sais pas, mais en tant que premier tome je trouve que L'Ombre des Dieux est un bien meilleur bouquin que Malice. ☺️

c/c IG @kvinwtm_

⚔ Dans cette nouvelle aventure nous suivons trois points de vus différents, avec trois arcs narratifs :Orka, Varg et Elvar

⚔ Tout d'abord le style et la plume de John Gwynne est assez particulier, j'ai eu un peu de mal avec sa façon de faire par moment. Il introduit des mots en vieux norrois qui ne sont parfois pas expliqués ce qui peut couper dans la lecture. Ou parfois répertoriés à la fin du livre auquel il faut se référer pour comprendre.

⚔ Si il y a bien une chose qui est remarquablement amené c'est le wordbuilding et l'ambiance du roman. C'est un mélange de plusieurs mythologies assez peu connu dont le ragnarock. Il crée son propre univers avec un à ambiance viking incroyable, j'avais l'impression de me tenir épée à la main, les pieds dans la boue au milieu d'un mur de bouclier. Absolument génial. Les combats sont également bien retranscrits. Si vous aimez cet période, vous allez adorez !

⚔ Tous les arcs narratifs ne sont pas tous intéressants au même moment, mais c'est le jeu avec un roman Choral. J'ai cependant apprécié chacun des arcs qui se révèlent au final tous interessant à un moment ou un autre et plein de surprise.

⚔ Les personnages, je les aient tous apprécié pour différentes raison, Orka pour son côté combatif, Varg pour l'apprentissage et la découverte de soi, Elvar pour l'honneur et la gloire que recherche tous les vikings que nous apprécions. Ils sont tous moraly grey et ambivalent.

⚔ Deuxième bémol, il y a beaucoup trop de personne secondaires ! Je n'ai pas retenu tout leurs prénoms heureusement que le récit est scindé en trois arcs pour ce point. Certain m'ont fait rire, certain sont plus important qu'on ne le pense ! Et même s'ils n'apportent pas tous quelque chose, on a le sentiment de multitude et de suivre un vrai groupe.

En conclusion je lirais avec plaisir le deuxième tome surtout vu la fin.

Après la guerre des dieux ayant eu pour conséquence leurs extinctions, cette disparition impact encore la vallée de Vigrid.

John Gwynne nous emporte dans un roman qui se situe après le Ragnarok, à travers trois points de vue, trois personnages.
Orka, une mère prête à tout pour protéger sa famille. Elle est le personnage que j'ai préféré, par sa force de caractère, sa qualité à ne jamais abandonner quitte à parfois oublier de se raisonner. Elle est la force et le symbole de l'amour maternel.

Varg, un ancien esclave qui cherche vengeance pour la mort de sa soeur. Un personnage qui est lui aussi mené par ses convictions mais qui va apprendre à évoluer. J'ai beaucoup aimé suivre le cheminement de Varg, autant ses raisonnements que son évolution parmi ses compagnons de route : la confrérie du sang. Lui qui a passé toute sa vie seul, va finalement apprendre ce que signifie le mot famille.

Elvar est le personnage que j'ai de prime abord le moins apprécié. Pour tout dire j'ai eu très peur de m'ennuyer tout au long du roman avec ce personnage. Mais je m'y suis finalement attachée, surtout à partir de la deuxième moitié du roman. Ce personnage qui paraît en premier lieu simple ne pouvait pas réellement l'être dans l'univers riche de John Gwynne. Elvar permet en début de roman une respiration dans ce wordbuilding intense de l'auteur et les révélations la concernant arrivent ainsi au moment idéal ! J'ai hâte de voir son évolution dans la suite.

Ce ne sera pas une grande surprise que de vous dire qu'il s'agit d'un coup de coeur 💓 Avec Malice, John Gwynne s'était déjà hissé dans la liste des auteurs que je suis avec attention, avec la confrérie du sang, c'est officiel, il fait partie de mes auteurs favoris.
Ces univers sont toujours très bien construits, sa force réside dans la caractérisation des personnages, mais aussi dans le fait qu'il soit impitoyable envers ces derniers. le destin avant tout.

Chronique complète sur insta : lespagesd_eugenie