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Critique de RanaLoce
🤝🏻 Merci beaucoup aux éditions le Beau Jardin de m'avoir confié ce service presse papier dans le cadre de la Masse Critique organisée par Babelio.
📚 Il s'agit d'un livre autobiographique mettant en lumière le quotidien d'un libraire au travers de différentes anecdotes. J'ai eu du mal avec la première moitié de l'ouvrage : l'auteur fait plusieurs fois référence aux seins de certaines de ses clientes, et les descriptions d'autres clients sont parfois teintées d'un certain dédain. J'ai mieux apprécié la deuxième moitié du livre où le libraire fait preuve d'une plus grande tendresse envers les différents personnages venant se perdre dans les rayons de la l'établissement. Hormis pour les auteurs auto-édités pour lesquels il exprime un certain mépris. Ce point là aussi m'a déplu.
🤗 Willy Hahn montre une réelle attention envers les habitués mais également envers ses collaborateurs. Il essaie également d'élargir la culture littéraire de ses clients, mais c'est parfois difficile ! J'ai ri avec la dame fan de Télérama. Il explique la lourde décision qu'il a dû prendre suite à l'ouverture d'un concurrent. Il y a beaucoup d'humour et l'auteur aime les mots qu'il manie habilement. Pour la petite histoire je me suis rendue compte que c'est dans cette librairie que j'ai fait mes achats en octobre lors de mon passage à Wissembourg.
🤔 Peut-être suis-je passée à côté de l'essence de ce livre. Peut-être ai-je mal interprété les propos de l'auteur... le titre est également étrange car la dénommée Aïcha n'est pas au coeur de ces tranches de vie. Dans la lecture c'est très subjectif et tout est question de goût personnel mais je ressors de ma lecture mitigée.
📚 Il s'agit d'un livre autobiographique mettant en lumière le quotidien d'un libraire au travers de différentes anecdotes. J'ai eu du mal avec la première moitié de l'ouvrage : l'auteur fait plusieurs fois référence aux seins de certaines de ses clientes, et les descriptions d'autres clients sont parfois teintées d'un certain dédain. J'ai mieux apprécié la deuxième moitié du livre où le libraire fait preuve d'une plus grande tendresse envers les différents personnages venant se perdre dans les rayons de la l'établissement. Hormis pour les auteurs auto-édités pour lesquels il exprime un certain mépris. Ce point là aussi m'a déplu.
🤗 Willy Hahn montre une réelle attention envers les habitués mais également envers ses collaborateurs. Il essaie également d'élargir la culture littéraire de ses clients, mais c'est parfois difficile ! J'ai ri avec la dame fan de Télérama. Il explique la lourde décision qu'il a dû prendre suite à l'ouverture d'un concurrent. Il y a beaucoup d'humour et l'auteur aime les mots qu'il manie habilement. Pour la petite histoire je me suis rendue compte que c'est dans cette librairie que j'ai fait mes achats en octobre lors de mon passage à Wissembourg.
🤔 Peut-être suis-je passée à côté de l'essence de ce livre. Peut-être ai-je mal interprété les propos de l'auteur... le titre est également étrange car la dénommée Aïcha n'est pas au coeur de ces tranches de vie. Dans la lecture c'est très subjectif et tout est question de goût personnel mais je ressors de ma lecture mitigée.
